Les services de sécurité israéliens s’empoignent sur la place publique
13 novembre 2014 23:54, par Jérôme2709
Ce pays porte en lui trop de contradictions. Ses représentants n’ont que le mot "paix" à la bouche mais ils sont tout le temps en guerre. Il n’y a aucune cohérence entre les paroles et les actes. Cela doit être le paradoxe israélien. Je pense souvent au titre du livre de l’historien israélien Simon Epstein dont a parlé Alain Soral : "Un paradoxe français, antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance". Pour moi, ce n’est pas du tout paradoxal qu’un antiraciste se soit retrouvé dans la collaboration et qu’un antisémite se soit retrouvé dans la Résistance. Quand on voit les faux-culs de première que sont les antiracistes aujourd’hui, on imagine sans peine qu’ils auraient été enclin en tant de guerre à collaborer. Quand on n’est pas capable de s’asseoir sur son méga-salaire en tant de paix, on risque encore moins de risquer sa vie en tant de guerre. Quant à ceux que le système estampille "antisémites" aujourd’hui, quand on s’intéresse à eux de plus près, on se rend compte qu’ils sont sains et courageux, et on imagine sans peine qu’ils choisiraient de résister en temps de guerre. Si Simon Epstein avait été urologue, il aurait intitulé sa thèse de doctorat : "Un paradoxe humain, les hommes font pipi debout et les femmes assises."