Irak : le pétrole, enjeu majeur du conflit, entre Kurdistan, Turquie et États-Unis...
20 août 2014 03:18, par lebelge
en avant pour l’état kurde : ben tiens, qui l’eu cru. D’ailleurs c’est comme si c’était fait puisque tant le gouvernement irakien que syrien, affaiblis par des années de guerre, n’ont plus les moyens de s’y opposer. La destruction de l’Irak de Saddam Hussein prend maintenant tout son sens à ceux qui avaient considéré " l’aventure" comme absurde. Bientôt à l’Iran de se faire attaquer ? N’est-ce pas la dernière pièce du puzzle ?