Je suis prêt à parier que quelques chancelleries occidentales avaient été averties de la date du retrait israëlien depuis plusieurs jours.
Dès lors, ça ne mange pas de pain, quand le "massacre" est terminé, de l’évoquer officiellement en public, la veille ou l’avant-veille : ça passe comme une lettre à la Poste en Israël comme chez nous.
C’est comme ça, les ennemis de la finance : un jour, ça vous dissout les paradis fiscaux, et deux jours après, ça s’agenouille à la City.
Hollande confirme son côté (J)anus.
De la com’, encore et toujours.
Sinon, la tribune, Brauman, et les signataires, rien à redire.