Une lettre poignante dans laquelle beaucoup, moi le premier, peuvent s’identifier.
C’est une souffrance immense de s’apercevoir que bien des choses ici-bas sont fallacieuses. On en vient même parfois à espérer la pire catastrophe afin de tout reconstruire à zéro...
Bon courage à toi L., et "sbor chwiya" (tiens bon).
Abderrahim