La NSA travaillerait sur un ordinateur quantique
3 janvier 2014 20:45, par MaxCLa physique quantique :
* Le principe de superposition (paradoxe du chat de Schrödinger)
* L’indéterminisme de la mesure (principe d’incertitude d’Einsenberg)
* L’intégrale de chemin (expérience des fentes de Young)
...
Tu parles d’un domaine abstrait.
« Si vous croyez comprendre la mécanique quantique, c’est que vous ne la comprenez pas ». Richard Feynman. Prix Nobel de Physique pour ses travaux en électrodynamique quantique.
C’est assez amusant de voir le monde moderne s’enfoncer là dedans. C’est comme certains luthier de nos jours qui redécouvrent le phénomène des plaques de Chaldni (acousticien allemand du 18ème siècle).
On ferait bien de s’émerveiller de ces phénomènes plutôt que de les traiter vulgairement, c’est à dire sans leur robe ésotérique et les réflexions qu’elle induit au niveau spirituel.
La science moderne pense avancer plus vite qu’avant alors qu’elle ne cesse de démontrer que l’on a perdu le sens profond de la réalité. Si on liste le nombre de chose qui restent totalement sans réponse ça fout le vertige.
Alors franchement l’ordinateur quantique je m’en bas les couilles autant que de la dernière tablette ou téléphone sur le marché. Si c’est pour nous pondre des remakes de Tetris ou des Sim’s en 3D, franchement je répète que je m’en bas les couilles.
Car même avec un ordinateur quantique, si c’est pour nous pondre du code buggé ou du travail de chinetoc !!! Le seul ordinateur valable dans ce monde, c’est l’ordinateur biologique, et le plus intéressant ... c’est que c’est gratos, c’est fournit de série par le créateur. Pas besoin de courant, de WiFi, de carte graphique haute résolution, de disque dur de millier de Tera.
Et quand on se rend compte du niveau de bridage de notre machine et de son potentiel intrinsèque (voir la question des rêves et des brèches dans le temps que cela produit !!!), c’est véritablement affligeant de voir que la seule préoccupation qui anime probablement la NSA ou d’autres centres de recherche c’est la sécurité des données et la guerre de l’information.
En même temps, demain même sans ordinateur quantique, un simple gus dans sa piaule peut trouver le "secret" des nombres premiers et c’est aussi tout le système de sécurité bancaire qui est à changer. Car quantique ou pas, les algorithmes reposent sur des concepts mathématiques qui peuvent les faire s’effondrer du jour au lendemain.