L’entretien de Dominique Baettig accordé à E&R dérange
13 décembre 2013 12:07, par RogerL’analyse psychanalytique de Dominique Baettig me semble à peu près juste. On pourra toujours ergoter sur le choix des mots. Peut-être est-ce erroné en partie. Dans tous les cas, c’est une question très saine à se poser. Et c’est un débat qui doit pouvoir se faire librement, et à mon avis important de nos jours. On peut toujours discuter le fond des propos de Baettig, mais faire comme si l’homosexualité était une sexualité tout à fait égale à l’hétérosexualité, est vraiment une grosse ânerie. Cela devient encore plus grave lorsqu’on diabolise la personne, signe de la volonté de censure et d’exclusion.
Je pense que l’homosexualité est une bien une névrose, banale et sans gravité spéciale, mais une névrose. La plupart des gens ont des névroses, comme les fumeurs, qd on déprime, qd on est stressé, qd on est alcoolique, etc. Ce sont des névroses plus ou moins importantes, à chacun de se faire son opinion. Donc pas de quoi pointer du doigt l’homo, ce serait une erreur, il n’est pas plus névrosé que les autres dans l’absolu. Il faut comprendre aussi que l’homosexualité est une souffrance, et qu’elle a souvent des causes douloureuses, comme par exemple un viol ou des attouchements dans la petite enfance. Effectivement c’est comme si l’enfant cessait de grandir dans une partie de sa personne. Bref, c’est un débat psychanalytique qui faut tenir avec bon sens.
Et ce qui est grave, c’est l’élévation de cette névrose à la normalité, et pire encore la promotion de l’homosexualité (dans les écoles notamment). Les pro-homos diabolisent à tout va (la marque du stade animal). Mais ce sont eux qui font du mal en réalité, car ils entraînent des jeunes paumés ou abusés durant leur enfance, dans leur délire, et dans la déchéance physique et mentale. Ils détruisent leur corps, leur vie affective et sexuelle. Certains se retrouvent aux urgences avec des objets trop gros dans le derrière qu’ils n’arrivent pas à retirer. D’autres finissent sur la table d’opération. D’autres avec le SIDA.
Le Pen le disait dans les années 80 que la sodomie était le principal vecteur du sida. Maintenant on ne peut plus dire cette vérité. Ceci provoquerait d’un côté les hurlements hystériques des loups, et de l’autre les esclaffements des moutons consommateurs immatures. Bref il y a un vrai problème de santé publique derrière cette question. Et les idéologues fanatiques pro-homosexualité portent la responsabilité de la destruction de la santé publique. Voilà ce qu’il faut dire et répéter.