Touchant, donc touché !
En lisant cette lettre, je me disais : Il y a aussi du Béchikh dans cet autre Kamel là.
C’est la limite d’Internet, ce garçon, - en âge d’être mon fils -, je ne peux le prendre dans mes bras, - fraternellement -, que virtuellement, mais le coeur y est.
Si vous lisez ce message, Mon Cher Kamel, soyez sûr de mon estime.
Dieu vous protége, bien sincèrement,