La sénatrice UDI Sylvie Goy-Chavent, cible de sites juifs
6 novembre 2013 10:45, par ValeriusAvec Goy et Chavez dans le nom, la pauvre était mal barrée. Plus sérieusement, et avec tout le respect aux croyants et à leurs rites (je suis chrétien) :
Nous avons enfin atteint, un « premier » niveau de conscience de la vie, de la sensibilité, voire de la conscience animales et cette idée est très récente en Occident.
Contre ce début d’empathie pour la vie animale, l’industrie agroalimentaire (qui a tué l’agriculture elle-même bourreau de la paysannerie) continue de nous abreuver de chair morte, élevée en cage, sous antibiotiques et hormones, dans des conditions abominables. Il s’agit bien là de 6 Millions de morts... par heure certainement !
Et la Pravda nous loue aujourd’hui autant les mérites du Bio que les avancées technologiques dans l’élevage industriel de masse (bien subventionné). Cherchez la cohérence...
Là encore nous vivons au-dessus de nos moyens : manger de la viande ? bien-sûr, pourquoi pas, mais pas autant, pas comme çà. Et à une seule condition : le respect de la vie, comme de la mort.
Quels que soient nos coutumes, nos rites et nos traditions, il me semble totalement ridicule de permettre encore des méthodes d’élevage, de production et d’abattage, aussi éloignés du respect et de la communion avec le monde animal.
Donc, que ce soit mon pote qui s’accommode d’un abattage sans étourdissement de ses poulets ; ou bien l’abattoir industriel, les producteurs halal/cachère qui organisent sans le moindre regret la mort de milliers d’êtres vivants dans des conditions dignes des pires fantasmes shoatiques : cela est inacceptable aujourd’hui. Je dirai même plus particulièrement pour un croyant. Car nous devons absolument respecter la vie et la sensibilité de tous les animaux, pour eux, mais aussi pour notre âme.
Est-ce normal de pouvoir manger un beefsteak par jour ? Jadis, le nombre et le type de pièces de viandes disponibles étaient naturellement limités par le cheptel du foyer ou de la ferme. Maintenant c’est ce que tu veux, quand tu veux. Je n’achète plus de viande industrielle. Le porc que je consomme vient de la ferme locale où les animaux sont élevés et transformés sur place. Quand il n’y a plus de jambon ou de bacon : je patiente…
Ne pas manger de viande, c’est une question de liberté. Mais ne pas faire souffrir nos animaux relève de notre responsabilité en tant qu’êtres humains, soi-disant intelligents et matures…
Salutations pyrénéennes