" Un Américain du Névada, " soucieux du bien etre de ses compatriotes " et s’estimant " sans préjugés ni interdits " à ouvert un site internet à l’intention des ... coprophages . Rappelons que cette activité n’est pas un délit et ne risque guère de le devenir, tant que les adeptes de ce qu’il faut bien appeler une société secrète ne pratique que l’auto-coprophagie . Les choses se gatent quand, pour changer, on aspire à consommer les "productions" d’autrui , elles sont souvent difficilement accessibles , et leur prélèvement peut amener des conflits entre "producteur" et "consommateur" . Pour pallier cette difficulté et ramener un semblant d’harmonie, le citoyen du Névada a décidé d’en faire commerce, de "marchandiser" comme on dit aujourd’hui cette matière première à la fois abondante et paradoxalement protégée . Les commandes doivent etre passées à Kopros.com , il doit etre précisé quelle est la provenance souhaitée, l’age, le sexe, la profession, la religion de l’ "émetteur", car le coprophage est un grand imaginatif..."