Deux villes de banlieue parisienne imposent un couvre-feu à certains commerçants
24 août 2013 22:00, par coucoucemoi
Non mais on va se réveiller quand ??? Depuis déjà une trentaine d’années, lors d’un délit, on ne donne plus le prénom du voyou mais on ne se gêne pas pour donner celui de la victime. Ce qui démontre une seule chose : loin de vouloir protéger l’anonymat du "présumé" coupable - un prénom ne peut en aucun cas identifier qqu’1 - on cherche à étouffer le fait que la plupart des délits sont commis par des arabes ou des noirs. Ainsi, c’est à l’époque où les prénoms des voyous étaient donnés que l’on a senti monter un ras le bol des français face à ces populations que les merdias et les droits de l’hommistes ont appelé "racisme". Ce pauvre grand-père dont ne s’est pas privé de donner le prénom : Jacques, je voudrais bien connaître le prénom du présumé coupable. Les paris sont ouverts : Mohammed - Abdallah - Rachid. Il sera arrêté, je l’espère, mais ira occuper une place de prison, alors à la place, on va lui mettre un bracelet électronique... ON MARCHE SUR LA TÊTE ! Au secours !