Ces élus qui embauchent leur conjoint, leurs enfants, leurs ex…
Au Parlement comme dans certaines collectivités locales, on ne compte plus les postes offerts à des parents. Emplois réels ou de complaisance ? Jusqu’où aller pour combattre toute tentation de népotisme ? L’Express a mené l’enquête.
Les projecteurs se sont éteints, les élus se sont éloignés, les amis se font rares. Elle est restée, elle est là. Ainsi va, aussi, la politique. Claude Chirac a cessé ses activités professionnelles pour se remettre à travailler pour son père sauf qu’il ne s’agit plus de travailler, seulement d’accompagner un vieil ex-président perdu dans ses souvenirs.
La fille n’a rien oublié de l’accueil qu’elle reçut quand elle se mit au service d’un homme dont beaucoup pensaient alors qu’il prolongerait ad vitam aeternam sa série de défaites à l’élection présidentielle. « Abandonné par tout le monde, sauf par ma fille et par Maurice Ulrich », remarquait-il à l’époque. L’arrivée de Claude provoqua la colère de certains fidèles : « Il n’est pas sain qu’un présidentiable soit conseillé par un parent. »
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http://www.lexpress.fr/actualite/po...
Il est inéluctables que, dorénavant, les privilèges sont de plus en plus nombreux. De plus en plus dangereux également. Ils ne se cachent même plus et vont jusqu’à distinguer, de par la Loi, entre française et français selon des critères d’âge ou de physique.
En somme nous pouvons constater, actuellement, ce qu’était la France avant la célèbre nuit du 4 août 1789 qui a vu abolir tous les privilèges.
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