Détruire ce que Renan appelait pour que la notion de nation puisse exister : "le vouloir vivre collectif".
Sans lui la nation n’existe plus. Et aucune force politique émanant de la nation peut équilibrer les institutions. Donc l’intérêt est de briser la cohésion historique et de mémoire d’une collectivité pour la diviser au maximum, ainsi le pouvoir en place ne craindra plus d’être destabilisé par une force commune de contestation. Une étrange dictature qui ne veut plus de peuple mais des "sujets" à gérer commercialement.