Souffrance à deux vitesses
22 novembre 2012 17:15, par mouloud
Cela serait drôle si ce n’était pas tragique et mortel.
Cela confirme ce que je pensais : quand on est en train de souffrir, on n’a pas la force de se plaindre. Inversement, ceux qui se plaignent ne souffrent pas.
D’un coté, l’urgence de la survie dans la souffrance et de l’autre, une réthorique de bons mots choisis dans le confort.
Indécent.