Webster Tarpley analyse la tentative de déstabilisation de la Syrie
2 août 2012 12:57, par Wake up stand upCa commence aussi à craquer en France, tel que hier dans c’est dans l’air sur France 5. Bien sure le boulot de corrélation des infos n’est pas fait mais filtre tout de même l’info que des Djihadistes non Syriens sont sur place. Un reportage montre un type en pleine propagande et lorsque le journaliste dans un moment de lucidité lui fait remarqué que le drapeau djihadiste flotte sur le toit d’une mosquée à moitié détruite, il répond que se sont que quelques djihadiste que al Quaïda n’est pas en Syrie et avec le plus grand sérieux du monde demande au journaliste de le juger sur son apparence qui n’est pas celle d’un djihadiste. Le fait est que si le djihadiste représentaient qu’une infime partie des troupes rebelles comme les commentateurs sur le plateau voulaient le faire croire alors pourquoi les rebelles qui demandent l’aide occidentale ne retirent pas ce drapeau ? Par ce qu’ils ne peuvent pas. Et pourquoi ne peuvent ils pas le retirer ? Par ce que c’est bel et bien la bannière des rebelles. Rebelles intégralement soutenus par l’OTAN qui à manqué à toute ses obligation diplomatique à l’égard de la Syrie au lendemain de l’assassinat par méthode terroriste du ministre de la défense comme le fait remarquer Thierry Meyssan. L’OTAN soutient officiellement des actions terroriste. Donc tout comme il y a les bons chasseurs et les mauvais chasseurs, vous connaissez le sketch, il y a les bons terroriste et les mauvais terroristes. Les estampillés OTAN et les autres. Encore plus drôle, ce représentant des rebelles, toujours sur le plateau de c’est dans l’air qui expliquait que si nous voyons des images de soldats crier Allah akbar ça ne veut rien dire par ce que c’est une formule qu’on utilise à tout bout de champs, pour les enterrements etc. Je pense que ce commentaire plaira beaucoup à nos amis musulmans. Allah akbar n’est rien d’autre qu’une formule qui ne veut pas dire grand-chose par ce que utilisée à tout bout de champs. Ce type puait le mensonge et ne parvenait même pas à convaincre la totalité des autres intervenants, ce qui n’a pas échappé au présentateur journaliste qui n’a bien évidement pas provoqué la moindre polémique mais au contraire, conformément à ses instructions, lissé la discutions le plus possible. Il sera intéressant de voir si des intervenants contradictoires seront de nouveau mis en présence dans cette émission.