« Je crois que les jeunes sans avenir vont prendre un jour les armes et ils pendront les traitres de ce pays sur la Place Syntagma, comme les Italiens l’avaient fait pour Mussolini en 1945 ».
C’est malheureux à dire mais c’est une phrase sauce Mélenchon, ils souffriront tant qu’ils n’auront pas identifié les vrais ennemis...