A 18 ans le poète Etienne de La Boétie a rédigé un célèbre ouvrage intitulé "Discours de la servitude volontaire"
"Les théâtres, les jeux,, les spectacles, les gladiateurs, les bêtes curieuses, les médailles, les tableaux et autres drogues de cette espèce étaient pour les peuples anciens les appâts de la servitude, la compensation de leur liberté ravie, les instruments de la tyrannie. Le tyran allèche ses esclaves pour endormir les sujets dans la servitude les mongols et non pas les "éveillés", par cupidité ’ils défendent ce système oppresseur et le tyran, l’esclave pire que son maître, c’est là que cette fameuse phrase de Malcom X prend tout son sens " le nègre de maison" qui châtié les nègres des champs" parce qu’ils refusaient la soumission. Cette négresse de maison, tout comme le bouledogue Colin Powel et Obwana le nègre de la maison Blanche... ne font que perpétué la servitude zélés de leurs pitoyables ancêtres. “La Boétie porte son attention non sur les tyrans mais sur les sujets privés de leur liberté. Et il pose une question troublante : comment peut-il se faire que " tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent ? " L’originalité de la thèse de La Boétie est contenue tout entière dans
l’association paradoxale des termes « servitude » et " volontaire ". Il établit un modèle de la servitude, des causes de son apparition à celles de son maintien qu’il s’agit d’établir ici
"quand je pense à ces gens qui flattent le tyran pour exploiter sa tyrannie et la servitude du peuple, je suis presque aussi souvent ébahi de leur méchanceté qu’apitoyé de leur sottise. "
"Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux."