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Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins à roulettes !"

Ne manquez pas le point de vue de Félix Niesche sur la question,
chez Kontre Kulture !

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40 Commentaires

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  • #442196
    Le 21 juin 2013 à 18:26 par caliboa
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    Ca ressemble tellement à du Soral que je ne veux pas croire qu’il ne s’en soit pas inspiré. Encourageant et drole, comme souvent

     

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    • #442852
      Le Juin 2013 à 13:24 par goy pride
      Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

      Sans vouloir commettre un crime de lèse-majesté Soral n’a pas l’exclusivité de ce genre propos. Ce n’est pas du Soral mais du "monsieur tout le monde encore doté d’un embryon de bon sens". En fait c’est très fréquent d’entendre les petites gens tenir de tels propos. Quand j’étais gosse c’était bien le genre de truc qui sortait en permanence de la bouche de mon père qui était déjà exaspéré par la connerie ambiante, or à l’époque petit con gauchiste je le prenais pour un réac’ qui n’avait rien compris...25 ans plus tard je me rends compte qu’il n’avait pas raison un peu ni beaucoup mais sur toute la ligne même si parfois il ne savait pas toujours exprimer clairement le fond de ses pensées.
      En cette époque dégénérée les bobos et ceux imitant leur mode de vie prennent le monde pour un putain de parc d’attraction. Entre les connards en ville avec leur rollers et vélos, d’autres avec leur quadro et moto tout terrain qui nous font chier le week end en faisant des Paris Dakar dans les petits chemins forestiers de nos campagnes...il y en a plein le cul !
      Ce qui est effarant c’est que sous prétexte que tu sois en vélo ou en roller t’as le droit de faire chier le monde, t’es pas un connard mais un mec cool. Le film pour bobos "Premium Rush" est un parfait exemple de cette mentalité bobocrasseuse.

       
    • #446082
      Le Juin 2013 à 16:20 par arkhamian
      Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

      Encourageant et drôle ? Un demeuré que l’on paye à venir beugler dans un micro ?

      Ceci dit, l’analogie entre Paris et Disneyland dans l’esprit de Delanoe n’est pas mauvaise. Elle montre bien le décalage entre la vision élitiste de la ville par l’intelligentsia et son vécu au quotidien... Pour autant, il faut vraiment être abruti pour souhaiter d’avantage de voitures et de 38 tonnes dans un ville déjà saturée, polluée, bruyante, pour tout dire invivable.

      Enfin... ce cher monsieur n’est pas payé pour réfléchir, ni même pour susciter la réflexion d’ailleurs.

       
  • #442248
    Le 21 juin 2013 à 19:14 par hugh
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    Taper dans une baballe qui a une forme de suppositoire, c’est plus intelligent ?

     

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  • #442285
    Le 21 juin 2013 à 20:02 par flo
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    il est énorme !

     

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  • #442351
    Le 21 juin 2013 à 21:31 par DJL 93VIDEO
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    J’écoute Moscato régulièrement sur RMC Sport, et là, comme d’habitude, il vient de nous sortir une saucisse grosse comme lui ^_^ lol

    Le Rollers à Paris C très bien ... C Vendredi soir, donc ils ne prennent pas tant de place que çà ... Et puis C un moment conviviable où des centaines de personnes partagent un truc comme 1 ... Une ballade sur Paname la nuit, çà vaut le coup et C du sport ... Faire du roller C très bon pour les muscles des mollets, des cuisses et du fessier ...

    Paris Plage ... Bon à Paname on a pas de plage, et au mois d’Aout çà peut faire du bien un Paris plage pour ceux qui n’ont pas la chance de partir en Vacance ...

     

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    • #442427
      Le Juin 2013 à 22:43 par petit_poney
      Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

      Paris-plage, ce n’est pas pour les pauvres qui ne peuvent pas aller à la plage, ce n’est pas vrai.
      Sinon on leur offre des billets de TGV pour Marseille, ce sera bien mieux.

      Paris-Plage, c’est un symbole libéral-libertaire, je veux être à Paris et à la plage, je veux avoir une vie d’homo et me marier et avoir des enfants, je veux vivre en démocratie, avoir le pouvoir, mais n’être responsable de rien, je veux tout en même temps, tout de suite.

      Au final, à Paris-Plage, il n’y a ni le charme de Paris, ni l’immensité de la mer, ni rien.

       
  • #442447
    Le 21 juin 2013 à 22:53 par ordekestion
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    Facile de s’en prendre aux fans de chaussures à roulettes.
    Cela serait plus courageux de s’en prendre aux adeptes des dispositifs à deux pédales mis à disposition par Delanoe.

     

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  • #442478
    Le 21 juin 2013 à 23:25 par picadello@hotmail.fr
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    Oui Soral l’avait dit et peut-être avant lui Philipe Muray en Fevrier 1998.Après l’Histoire ( Ed belles Lettres) Je cite pages 26-27
    DE LA VILLE FESTIVISEE
    Homo festivus n’a plus d’antagoniste. C’est lui qu’on voit partout, grimpé sur ses néo-patins, les" rollers on line".Qui aurait pu s’imaginer, quand on s’est mis en tête de reconquérir, sur les voitures envahissantes, l’espace piétonnier à coups de "mobilier urbains", que ce n’était pas aux piétons que l’on restituait l’espace, mais aux nouveaux figurants de la civilisation hyper-festive, à ces bandes idylliques chaque jour plus nombreuses de patineurs célestes ?

     

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  • #442562
    Le 22 juin 2013 à 00:54 par Sozë
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    J’écoute souvent son émission et même si c’est une émission de sport, quand il parle un peut de politique de trouve qu’il a l’esprit E&R. Contrairement à ceux qui ce proclame grandes geules sur cette radio, je crois bien que les seules et vrais grandes gueules, c’est lui et Riolo, toujours dans la limite pour ne pas perdre leur taf.

     

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  • #442571
    Le 22 juin 2013 à 01:01 par anti-propagande
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    Cette radio (RMC) je l’écoute que pour le sport en général et le foot en particulier, mais sur les sujets d’actualité grave tels que : la "crise" économique ou encore sur les questions internationales j’éteint la radio puisque comme dans tout le reste des Merdias c’est le même gavage merdiatique qui est servi aux auditeurs !

     

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  • #442631
    Le 22 juin 2013 à 03:26 par Tremah
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    J’avoue ne pas supporter cette émission des "grandes gueules" ; le côté populo est très formaté, quand on met de côté ce genre de diatribe anti-bobo (énième du genre) et les "coups de gueule" tout aussi téléphonés au sujet des parcmètres ou des radars. Sur le fond, c’est tout de suite moins "couillu" et on tombe très vite dans la propagande systémique...

    Pour info, Elizabeth levy fait régulièrement sa crise d’hystérie sur RTL au sujet des "bobos" (terme devenu carrément abusif, tu fais du jardin, tu es un bobo, tu prends ton vélo, tu es un bobo, tu veux pas étouffer dans les gaz d’échappement, tu es un bobo, etc.), de la circulation des voitures en ville, et puis y’en a marre, et gnagnagna... la fille gémit, se tord, tu as vraiment l’impression qu’elle doit se garer en double file pour aller démonter un lavabo au troisième... par contre, elle est tout de suite moins rebelle quand on lui parle augmentation des salaires (le sionisme on en parle même pas).

    Désolé, mais ces éructations systématiques et à peine théâtralisées deviennent lourdingues... à l’instar du Canada Dry, le populisme light, ça peut avoir le goût et la saveur sans en être pour autant.

    De plus, j’avoue quand même à titre perso avoir évolué sur certaines questions, quand je constate, même à la campagne, la dégradation accélérée de l’environnement. Si c’est une problématique bobo, alors me voilà bobo, peu importe.

     

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  • #442714
    Le 22 juin 2013 à 10:04 par effe
    Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

    A ceux qui s’enthousiasment si facilement et trouvent un lien de parenté hazardeux entre le discours des uns et des autres comme s’il s’agissait d’un même courant de pensée (soyons fou et associons Moscato à Etienne Chouard tant qu’on y est !?) je rappelle que Vincent Moscato et son employeur RMC c’est avant tout et toujours la "France pute" : c’est à dire une société faussement populaire mais en vérité microcosmique et volontairement retranchée de nombreuses réalités qui vend son cul et son âme pour sponsoriser son spectacle de one-man show, pour promouvoir son dernier film, ou son nouveau livre, et surtout toujours faire prospérer son image, en profitant de l’audience de cette masse bovine, souvent paresseuse intellectuellement mais rouspéteuse de nature.
    Sur RMC ces pseudo "grandes gueules" (dont Moscato) sont mises en avant tout au long de la grille journalière des programmes : c’est la stratégie de la direction de RMC afin de donner à ses auditeurs un point d’ancrage à travers lequel chacun peut projeter son propre esprit de contestation.
    RMC est la "grande sœur" de BFM qui de son côté fait pareil avec Olivier Delamarche qui incarne de fait l’esprit de contradiction et de critique)
    C’est une simple stratégie marketing, assez réussie donc puisque visiblement l’on tombe facilement dans le panneau.
    Le but de cette stratégie est de conserver les auditeurs potentiellement dissidents qui ont déjà fuit depuis longtemps les autres médias "pravda" du système telles que les chaines de Radio-France par exemple.
    Ces intervenants (dont Moscato, Riolo) deviennent des personnages censés focaliser l’esprit de contestation puis "porter la parole" d’une partie de ces auditeurs qui, si ces représentants étaient absents, n’écouteraient déjà plus les programmes.
    En clair, il s’agit pour le système (ou appelez le comme vous le voulez) de se créer sa propre opposition/contestation, évidemment fausse, feinte et encadrée, en lui donnant le visage des personnages référents dans lesquels un maximum de personnes peuvent se reconnaitre.

    Mais qu’on ne s’y trompe pas : il ne s’agit que d’une comédie d’acteurs avec peu d’authenticité et de profondeur, et beaucoup d’effets de manchette.
    Et Moscato n’y coupe pas : il n’est qu’une pute du système comme les autres.

    Sinon il serait tranquillement à Gaillac, à vivre en homme simple, à faire du bon vin, et à s’occuper le week-end de la formation de petits rugbymen en herbes.

     

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    • #442941
      Le Juin 2013 à 15:38 par Tremah
      Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

      ouf ! je vois que je ne suis pas tout seul à avoir identifié l’arnaque des "grandes gueules" et autres médias qui surfent sur la vague des commentaires à l’emporte-pièce et du "bon sens près de chez vous" (cf commentaire plus haut)

      C’est de la franchouillardise parodique, du sous-Audiard... j’ai grandi dans un milieu relativement populaire et les gens ne se comportaient pas comme ça, à gueuler comme des putois pour des futilités ou s’exciter sur des trucs dérisoires. Oh oui, comme ce serait bien que le péquenaud de base se contente de fustiger quelques bobos parisiens à trottinette pendant qu’on le sodomise socialement et économiquement parlant...

      Honnêtement, les types qui font du roller ? bon, ok, on va pas péter une durite non plus ; d’ailleurs, est-il plus sain de se gaver de protéines et de suppléments à la con ?... réponse, non, dans les deux cas on a des gens qui occupent une niche de consommation et qui s’inscrivent dans un certain mode de vie que les publicitaires savent très bien décrypter.

      Je vous rejoins dans votre conclusion, si le mec était cohérent, il vivrait positivement ses valeurs au lieu de venir se donner en spectacle pour "casser du bobo", exercice totalement stérile et frivole.

       
    • #443267
      Le Juin 2013 à 00:04 par Michel
      Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

      Merci Effe pour votre commentaire plein de bon sens et de discernement.
      Le systeme a besoin de se deguiser en agneau pour pouvoir rester credible, de plus en plus il va paraitre doux et tendre mais etre un loup dans l’ombre. Il faut donc garder son esprit critique. Ils font la guerre par la paix : leurs ideologies arrivent sur des pattes de colombe.

       
    • #444413
      Le Juin 2013 à 09:37 par effe
      Vincent Moscato sur le Paris de Delanoë : "Marre de tous ces cons en patins (...)

      Je suis heureux de partager avec d’autres un semblant d’esprit critique.

      Ce qui m’effraie réellement c’est de constater souvent sur E.R que beaucoup de commentateurs du site n’ont de démarche intellectuelle que celle de passer d’un camps à un autre ; de rejeter un chef pour s’attacher à un autre !
      Chiens perdus sans collier à la recherche d’une main qui nourrit ou qui frappe !

      On les lit et on les sent errer en quête de tous ceux qui ouvrent leur gueule et telle une meute de soldats à la déroute on les voit prêts à élire pour "guide" le premier qui parle mieux et/ou plus fort que les autres.

      Bordel !
      Arrêtez de penser comme des esclaves qui pour se débarrasser de leur mauvais maître tremblent de ne pas en trouver un nouveau plus accommodant !
      Essayez plutôt de penser en hommes encore un peu libres !

      Garder votre épée (esprit) affutée !

      Alain Soral n’est pas Chouard qui n’est pas Jovanovic ni Meyssan.
      Un peu de discernement !

      Tous ceux qui ont un discours alternatif ne forment pas pour autant un camps uniforme et cohérent qui serait celui "des gentils", et auquel il faut se rallier sans condition pour jouer à être dissident.
      Ces personnes (voir personnalités) ne sont pas des maîtres à qui il faut remettre notre sort, ni notre esprit critique.

      Je répète, ils ne sont pas nos maîtres.

      Pour ceux qui auraient encore du mal à comprendre quand à Moscato, qui au demeurant sait très bien jouer le rôle pour lequel son employeur le paye (et qui j’espère est dans sa vie privée un homme un peu plus affranchi de ces sales contingences médiatiques), il n’est dans son rôle de personnalité publique non seulement pas un maître mais qu’une des nombreuses petites catins du système, pas des plus pourries non plus.

       
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