Egalité et Réconciliation
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Vers un nouveau désordre familial

Partie 2

AteliER
Article initialement publié dans l'atelier E&R

Face au « multisexualisme » déferlant, osons un brin d’intolérance sémantique ! Le « couple homosexuel », ça n’existe pas : un couple repose nécessairement sur la complémentarité psychique et biologique des deux sexes. C’est par cette altérité que l’enfant intériorise des supports identificatoires et assume une identité donnée (masculine, féminine). Au mieux peut-on parler d’unions homosexuelles. Le mariage étant la consécration symbolique du couple biologique, le « mariage homosexuel » est également une absurdité.

De même, l’« homoparentalité » est un non-sens : l’enfant ne se construisant pas mais se concevant naturellement, la fécondité nécessite l’altérité sexuelle biologique. Par où l’on voit que la « famille recomposée » est aussi un non-sens : la famille implique un substrat biologique, structurée et durable. Les exceptions n’ont pas de légitimité pour réordonner le socle anthropologique ; elles doivent demeurer des exceptions.

Un mot à propos de la clef de ces revendications homosexuelles communautaires. Toute mutation sociale et politique tire sa légitimité d’un fondement théorique. L’idée est la suivante : si le mariage est la sanction religieuse ou du moins symbolique de la famille naturelle, il suffit pour élargir l’institution maritale de relativiser l’existence des identités sexuelles. Adieu la famille naturelle ! Bienvenue la famille culturelle !

C’est là ce que propose la théorie du genre, ou gender, ce cheval de Troie idéologique tant prisé par l’ONU et l’OMS ; théorie désormais inscrite au programme des manuels de S.V.T. des 1ère L et ES ! (et pour les chères têtes blondes, ce sera le court-métrage « Le baiser de la lune », une fable homosexuelle aquatique !). Ce sont les travaux du psychiatre américain Robert Stoller qui ont fait connaître la distinction entre l’appartenance biologique sexuelle et l’ontogenèse de l’identité sexuelle. La féministe lesbienne américaine Judith Butler est une des principales promotrices de cette théorie pseudo-scientifique.

L’identité sexuelle ne serait pas une donnée de fait… mais une construction sociale ! Cette théorie constructiviste, d’inspiration marxiste, repose sur la dialectique de l’oppresseur et de l’opprimé. Elle distingue sexe biologique et sexe culturel. Notre masculinité, notre féminité seraient liés à des facteurs purement sociaux. Le patriarcat opprimerait la femme en la reléguant à un statut inférieur à celui de l’homme. Il suffirait donc de lutter contre l’hégémonie mâle pour parvenir à une véritable égalité des sexes.

Au vu de ce qui a été écrit précédemment, inutile d’indiquer notre degré d’estime pour le gender ; elle est la négation du magnétisme et de la complémentarité masculin-féminin ; elle minimise l’essentialité du substrat biologique de la famille et de l’humain. D’où la confusion entre identité sexuelle, orientation sexuelle et rôle social.

La théorie du genre repose notamment sur la confusion suivante : la phase de bisexualité psychique, propre à l’enfant entre quatre et six ans et pendant son adolescence, impliquerait que tout enfant porte en lui des potentialités masculines et féminines ; en bref, qu’il serait bisexuel ! Rectifions cette mauvaise interprétation de la psychanalyse : la bisexualité psychique est une phase permettant à l’enfant de s’identifier à l’autre sexe ; en intériorisant le sens de l’altérité sexuelle, il découvre et assume sa propre identité sexuelle donnée. Pas si compliqué, avec un peu de bon sens…

Que conclure de tout ça ? Que si les débats sérieux, sociaux et économiques ont laissé place aux débats frivoles et sociétaux, c’est pour des raisons bien précises.

Primo. Par la pernicieuse question de la déstructuration identitaire et de l’hésitation homosexuelle, ils participent à l’émasculation du mâle, à sa dévirilisation corporelle et intellectuelle. En produisant massivement des individus castrés, immatures, flottants, uniquement préoccupés par le ventre et le sexe, la société neutralise toute contestation authentique et cohérente et assure ainsi sa reproduction. En mutilant la famille (naturelle, hétéro-parentale), elle tue le Nom-du-père qui est aussi le Non-du-père, soit l’indispensable imposition de la Loi, de la mesure, des limites du désir sans lesquelles l’enfant reste en lien fusionnel avec l’univers maternel. Le désir illimité de jouissance, c’est tout à fait ce dont a besoin la société marchande pour perdurer.

Secundo. En 1453, quand l’Empire byzantin déclinait, que Constantinople était assiégée, la légende dit que les prêtres continuaient de débattre du sexe et de la corporéité des anges. D’où l’expression de « querelles byzantines » pour désigner des conversations insignifiantes, oiseuses. Les débats sur le mariage gay sont autant de querelles byzantines. Ce serait une pure escroquerie de nous faire avaler qu’ils sont essentiels ! Ils ne servent qu’à dissimuler les déboires de la déferlante libérale. Comment ? Mais par le spectacle bien sûr !

Plutôt qu’une remise en cause radicale, ferme et cohérente, du capitalisme libéral et de la logique de la dette (loi Pompidou-Giscard-Rothschild du 3 Janvier 1973), la société libérale lance des os à ronger par la mise en scène de revendications libertaires. Masquer l’inéluctable récession économique à venir par la promotion d’un progressisme sociétal ! Si Sarkozy incarnait la tendance libérale-sécuritaire du spectacle de la société marchande, Hollande incarne la tendance libérale-libertaire du spectacle de cette même société marchande. L’un et l’autre maintiennent en particulier le Pacte Budgétaire Européen qui nous mènera mécaniquement, malgré de dérisoires renégociations, à des mesures d’austérité. Et point de référendum !

Tertio. La France est actuellement traversée par de graves déséquilibres démographiques. L’arrivée massive de populations d’origine extra-européenne aboutit à l’échec du modèle français d’assimilation. L’immigration de peuplement et le regroupement familial ont considérablement bouleversé la donne depuis bientôt quarante ans (loi Giscard de 1974). Si d’un côté on assiste à de saines préoccupations patriotes de la part de certains musulmans désireux de s’inscrire dans le roman national, on assiste de l’autre à l’ « islamisation identitaire ou ethnique » de certains individus, inspirés par une haine anticolonialiste et revancharde, soucieux (ou désireux) de ne pas trouver leur place au sein de la société.

Face aux préoccupations identitaires, on ne pouvait guère choisir meilleure période pour mettre en avant les revendications sur le mariage et l’adoption. Imaginez ! La destruction d’une conscience nationale par la mise en concurrence communautaire… Le clash des civilisations par la question sexuelle ! Bientôt, ce sera en France comme au Pays-Bas, où de nombreux homosexuels se tournent vers les partis nationalistes et anti-immigrés parce qu’en face, certains musulmans manifestent un peu trop violemment leur homophobie. D’aucuns prétendraient que telle revendication doit primer sur telle autre.

Les revendications communautaires participent au démantèlement de l’État-nation, au séparatisme culturel, à la balkanisation. Bien loin d’être un frein à la mondialisation libérale, elles en sont au contraire le moteur même.

 






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  • #220763
    Le 13 septembre 2012 à 17:19 par bobforrester
    Vers un nouveau désordre familial

    Assez d accord avec l’article sauf ce passage :"Cette théorie constructiviste, d’inspiration marxiste" . Je défie toute personne de bonne foi de trouver chez les fondateurs du marxisme un fondement à cette allégation farfelue , destinée à jeter le discrédit ( dans quel but ?) sur le socialisme scientifique .

     

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    • #221681
      Le Septembre 2012 à 01:07 par rr
      Vers un nouveau désordre familial

      Je ne pense pas qu’il s’agisse à proprement parlé d’une critique directement dirigée contre le marxisme mais de l’erreur consistant à appliquer les outils conceptuels marxistes dans le rapport entre les hommes et les femmes. En effet on notera que les féministes et apôtres de la théorie du genre assimilent les rapports hommes femme comme une lutte à mort où la femme seraient exploitées par les méchants hommes...

       
    • #221976
      Le Septembre 2012 à 16:51 par anonyme
      Vers un nouveau désordre familial

      Ça faisait longtemps que je n’avais pas entendu l’expression "socialisme scientifique". Marx l’avait lui-même nommé ainsi pour discréditer les anarchistes et ce qu’il appelait les "socialismes utopiques". Néanmoins je ne suis pas sûr qu’il y ait jamais eu quoi que ce soit de scientifique là-dedans même si les analyses de Marx restent d’une brûlante actualité.

       
  • #220772
    Le 13 septembre 2012 à 17:25 par bobforrester
    Vers un nouveau désordre familial

    "la phase de bisexualité psychique, propre à l’enfant entre quatre et six ans" ça c est de la psychanalyse ! y croit qui le veut mais du point de vue biologique la différentiation débute dans le ventre de la mère et s affirme dès les trois ou quatre premiers mois . Cf André gernez et la poussée hormonale des premiers mois qui achève la différentiation physique et assoit définitivement le genre !

     

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  • #220827
    Le 13 septembre 2012 à 18:49 par Janus
    Vers un nouveau désordre familial

    L’auteur de cet article a lu Tony Anatrella, non ? Beaucoup des concepts qu’il développe dans ses livres sont repris ici.

     

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  • #220973
    Le 13 septembre 2012 à 23:00 par Carl Andrea
    Vers un nouveau désordre familial

    Je ne suis pas tout à fait d’accord avec l’article.

    La théorie du genre s’inscrit au sein d’un contexte spécifique : une époque éprise de libertés et d’égalitarisme au cours de laquelle les études tendant à démontrer que la part de l’acquis était bien plus importante que l’inné ont trouvé un écho favorable dans la presse d’opinion ; l’époque où l’on a commencé à tout amalgamer en supprimant le "en droit" à la fin de la formule "tous les hommes naissent libres et égaux en droit".

    Tous les hommes égaux(...) Mais égaux en quoi ?!

    Depuis, si la science est revenue sur ses pas et qu’il semble que l’inné possède une part plus importante qu’escompté dans bien des domaines (et je comprend que l’on puisse trouver cela dommage), celà ne veut pas pour autant dire que la personnalité de l’individu, dont l’orientation sexuelle, n’est pas en partie le fruit d’une construction sociale. La théorie du genre n’est pas une vérité absolue sur laquelle on peut s’appuyer, elle est meme une absurdité sur le plan de la sexualité fonctionnelle, mais la logique qui la sous-tend n’en est néanmoins pas à complétement à jeter.

    C’est d’ailleurs évident : si bon nombre de personnes ont peur (fantasment ?) que la légalisation du mariage gay favorise l’homosexualité (ce que l’on peut craindre en effet, s’il n’y a plus la barrière des moeurs ou si l’on crée la tentation), c’est bien parcequ’ils pensent que le social a un impact sur l’orientation sexuelle. Par un tel raisonnement, ces personnes valident la théorie du genre : n’est-ce pas là ironique contradiction ?

    Non, le problème que pose la légalisation du mariage et plus encore de l’adoption des couples homosexuels (ou "homophiles" pour utiliser le terme plus exact de l’auteur de cet article), repose plutot dans le modèle de société dans lequel nous voulons vivre.
    C’est bien parceque la théorie du genre possède un fond de vérité (à savoir l’existence d’un impact social en plus de l’impact génétique / biologique) que l’on doit se poser la question suivante : les règles et normes de la société sont-elles là pour permettre aux individus de réaliser tous leurs désirs ou plutot pour permettre à cette meme société de perdurer ? Je crois sincèrement que le bon sens permet de répondre très simplement à cette question.

    Une dernière chose : il est bien sur possible de faire évoluer le droit naturel, cependant les valeurs, meme archaiques, sont structurantes. L’anomie (ou absence de norme) ne provoque que violences et intolérances.

     

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    • #222143
      Le Septembre 2012 à 23:18 par G.M
      Vers un nouveau désordre familial

      Tout a fait d’accord Carl Andrea,
      l’epigénétique du morphisme sexuel doit être pris en compte et c’est par ce biais que la médiatisation de certaines pratiques/orientations/(idéologies ?) sexuelles oriente de façon physiologique , à long terme bien sûr, par accumulation de stimuli sensoriels ( surtout audio visuels ) le comportement et l’ajustement du corps physique et hormonal sous jacent.

       
  • #220984
    Le 13 septembre 2012 à 23:15 par RKrishna
    Vers un nouveau désordre familial

    Oui, cet article est bon, mais on oublie toujours l’essentiel, la base de cette absurdité qui est La North American Man/Boy Love Association (NAMBLA) (Association nord-américaine pour l’amour entre les hommes et les garçons) :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/North_...

    Pourtant ils ne se cachent pas et c’est de là que viennent toutes les idéologies néo-gays*, et je parle bien d’idéologie, car ces personnes ont théorisé leur démarche qui vise clairement, selon leur propre dire, à détruire la cellule familiale.

    Vous parlez d’homosexuels à tout va, vous en faites une pluralité de catégories, soit ! Mais à un moment il faudra bien parler des personnes qui réellement sont à l’origine de tout ça, et qui encore une fois, ne s’en cachent pas !

    * J’utilise "néo-gay", car "gay" signifie "folle" qui est déjà une réduction de la pluralité homosexuelle à son caractère le plus excentrique ; le "néo-gay" renvoie justement à cette espèce de nouvelle appellation à la salade niçoise LGBT qui regroupe autant de détraqués que possible et finalement nuit réellement à la majorité homosexuelle de base.

    C’est mon avis, merci de ne pas me censurer !

     

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  • #220998
    Le 13 septembre 2012 à 23:45 par vincent
    Vers un nouveau désordre familial

    Moi je dit : si les cons veulent rester con, c’est leurs problème. Je pense qu’il reste des gens avec le minimum de bon sens nécessaire pour ne pas entrer dans ce jeux. Il reste encore de vrais hommes et de vraies femmes sur cette terre, et plus qu’on le pense. Le féminisme n’est qu’un fantasme médiatique pour nous diviser un peut plus encore. ça marche surement mieux dans les grandes villes où les gens sont déjà abrutis par le stress et n’ont plus le temps de penser. Ils avalent donc la pilule sans broncher comme un somnifère. Si certain sont asse cons pour penser que l’homme et la femme sont égaux en tout point, dans ce cas, pourquoi avons nous 2 sexes ?? Pourquoi ne sommes nous pas hermaphrodite ?? Parce que nous sommes différents et complémentaires. L’homme représente la force et l’autorité et la femme la douceur et la compassion. C’est comme ça et il faut l’accepter, c’est un juste milieu qui fait qu’on évite de partir dans un extrême où dans l’autre. Notre "moitié" est différente pour peser sur la balance quand il y a excès. Le ying et li yang en quelques sorte. Je peux comprendre que quelqu’un soit attiré sexuellement par le même sexe mais de là à se marier il y a un faussé à ne pas franchir. Les Grecque de l’antiquité étaient "PD comme des phoques" mais avaient une vie maritale normale (H/F). Mais dans un monde déséquilibré l’équilibre n’est pas une évidence.

     

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    • #221646
      Le Septembre 2012 à 23:48 par kasiar
      Vers un nouveau désordre familial

      Merci de ne pas généraliser, je suis de la région parisienne et je suis le premier à m’insurger contre le féminisme et toutes ces idéologies libertaires .

       
  • #221068
    Le 14 septembre 2012 à 05:38 par heizen
    Vers un nouveau désordre familial

    Je posais une question a un jeune con qui me traitait de facho réac parce que je suis contre le mariage et l’adoption homo :


    - Pour on contre le mariage polygame (hétéro et homo donc) ?
    - Pour ou contre l’adoption par ces polygames ?

    Et là... pas de réponse pendant longtemps, évitement de la question, puis à la fin voyant qu’il se décrédibilisé a fini par dire "oui pour, tous égaux bla bla bla". On voit là que leur logique amène au grand n’importe quoi... Car il s’agit bien de la même logique. Le mariage homosexuel c’est plier a un mode de vie alternatif au couple hétéro au nom de "l’égalité entre citoyens, tous les mêmes droits". Dès lors, sur cette même logique, si dans 100 ans les polygames ont remplacé les homo, il faudra légaliser le mariage polygame et l’adoption par les polygames... au nom de l’égalité, la non-discrimination, les Droits de l’Homme. Vous imaginez un trio de 3 ou 4 hommes homo polygames, mariés, qui peuvent adopter un enfant ? L’enfant aura 3 ou 4 papa, zéro maman (sans parler du risque énorme de pédophilie avec une telle légalisation, je ne fais pas partie de ceux qui pensent que tous les homo sont déviant, pervers et pédophiles, mais je constate que beaucoup de pédophiles sont homos, alors en + filer des enfants a des polygames homo c’est dingue).

    De plus, ils disent aussi "ce n’est pas normal que dans un couple homo qui a un enfant, l’un des deux "parents" n’a aucun droit reconnue sur l’enfant". Là aussi c’est une énorme arnaque et manipulation ! Car le vrai deuxième parent c’est géniteur ou la génitrice qui n’est pas dans le couple, l’enfant ils ou elles ne l’ont pas fait seuls.. Le deuxième parent n’est pas le conjoint homo. A part s’ils ont utilisé une mère porteuse ou un donneur de sperme... mais là ça veut dire qu’ils ont fait un bébé illégalement ! Ils assument.

     

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  • #221164
    Le 14 septembre 2012 à 11:06 par Guy
    Vers un nouveau désordre familial

    "Les Grecque de l’antiquité étaient "PD comme des phoques""

    La véritable orthographe est "foc", du nom d’une voile de bateau réputée pour prendre le vent par derrière... "Phoque" l’animal n’a rien à voir, c’est un pur délire de la plèbe.

    PD est l’abréviation de pédéraste, l’homme qui désire non pas d’autres hommes au sens général, mais de jeunes hommes.
    et la masse de pédé qu’on a aujourd’hui est à mettre directement en corrélation avec la montée du féminisme : le mâle, dont l’attribut est de dominer, d’être "fort", perd ses repères, ne trouve plus prise sur la femelle qu’on n’arrête pas de déifier, de mettre sur un piédestal, de revendiquer comme étant "l’avenir", etc.

    Du coup, par effet rétroactif, le Mâle essaie de caser et d’assouvir sa domination sur des cibles plus jeunes, et se rabat sur des hommes plus jeunes, par projection de sa propre personne lorsqu’il était jeune et qu’il commençait à comprendre son impuissance face aux femmes. Donc en réalité, en recherchant un jeunot, le Mâle totalement castré, essaie de réaliser sa propre guérison psychologique en essayant de produire d’autres schémas d’accouplement, en écartant la femelle de l’équation. Et la pédophilie n’a pas d’autre origine non plus, que l’imposition et l’image d’une femme forte qui veut s’octroyer les attributs masculins.

    Conclusion : plus le féminisme montera, plus nous observerons de déviances type homophilie et pédophilie.

     

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    • #221648
      Le Septembre 2012 à 23:50 par kasiar
      Vers un nouveau désordre familial

      C’est à celà à l’origine que sert le féminisme, à détruire les valeurs traditionnelles. Et le peu de tradition et d’ordre moral qui reste ils veulent s’en débarasser complètement. Quelque part dans notre malheur c’est une bonne chose que l’on ait l’occasion de résistant de façon virile aux assauts de l’idéologie dominante.

       
    • #221743
      Le Septembre 2012 à 08:55 par Q
      Vers un nouveau désordre familial

      je suis assez d’accord avec vous ,cette féminisation être égale ,est vraiment stupide la femme a perdu beaucoup plus qu’elle a gagné ,l’amour maternelle qu’elle apportait aux enfants ,moins de violence ,plus de respect ,son intuition qu’elle avait ,aujourd’hui courir effrénée ,par le travail extérieur ,,les enfants la politique ,en plus elles en deviennent exécrables de leur supériorité de vouloir être partout ,nous l’avons vu avec malheureusement ces deux gendarmettes devant un homme qui n’a pas supporté de se faire remonter par deux femmes ,si 2 gendarmes étaient venus rien ne se serait passé ,elles ont créé un climat détestable partout ,désolée je suis une femme ,Education Nationale ,la violence mais aussi le niveau depuis qu’elles sont majoritaire ,je plains les marins ,militaires gouvernés par des femmes ,celles qui sont sous les ordres de leur gente ,elles dégustent ,
      enfin de compte avant quant une femme voulait obtenir son désir ,elle avait la ruse ,imagination bien à elle ,les Salons de ces Duchesses ,elles initiaient la politique en douceur ,

       
    • #222559
      Le Septembre 2012 à 15:15 par thierry le frondeur
      Vers un nouveau désordre familial

      je tiens également a faire une petite précision sur la généralisation apportée au sujet de l’homosexualité antique.
      Autant que je sache, seule l’homosexualité active était pratiquée par les aristocrates : l’homosexualité passive (la réception de l’organe masculin) était un signe d’opprobre et de soumission, ce qui ne pouvait correspondre aux sentiments dominants qui animaient les hommes de cette époque.
      L’éphèbe ou l’esclave servaient seuls de réceptacle sodomite.

       
    • #227245
      Le Septembre 2012 à 16:25 par mikka
      Vers un nouveau désordre familial

      oulala, je suis un nouveau membre du site est ai assez de mal a comprendre pourquoi partant d’un sujet simple on obtient autant des réaction a cotés de la plaque ! SVP réstons sur le sujet principal et arrêter de faire pété votre science a chiné sur des détail pour montrer votre culture ou surtout vos recherche pour montrer que vous en avez.. Restons humble et débatons sur les sujet donnez, merci de prendre ce commentaire comme il se doit bonne continuation camarade

       
  • #224533
    Le 18 septembre 2012 à 22:27 par Jean-Pierre
    Vers un nouveau désordre familial

    Très bonne analyse. Vous avez raison de pointer du doigt le problème de l’immigration de peuplement, arme de destruction massive utilisée par les impérialistes pour semer le chaos multiculturaliste prélude à l’avènement d’un gouvernement global.

    Quant à la précaution que vous prenez concernant les musulmans “patriotes” (combien sont-ils ? existent-ils seulement ?), je reste dubitatif. D’abord il y a contradiction dans les termes : la notion de patrie n’existe pas en islam qui ne reconnaît que l’oumma. Ensuite, l’écrasante majorité des Africains venus en France est à la remorque de leurs maîtres, responsables de leur venue. Les études montrent en effet qu’au deuxième tour 94% des musulmans ont voté pour le candidat « libéral-libertaire » François Hollande, c’est-à-dire pour le programme de dénaturation de la famille et du mariage, donc de la société française, alors que le même ne recevait qu’à peine 20% des voix des catholiques pratiquants réguliers ou irréguliers. On voit là les limites de la “morale” musulmane. Le fait est que les immigrés extra-européens n’ont rien à faire d’un pays qu’ils ne considèrent pas comme le leur. D’ailleurs, qui le leur reprocherait si leurs racines sont ailleurs ?

    Ce qui me fait penser aux vers de Victor Hugo :
    « Qui prend le passé pour racine
    a pour feuillage l’avenir ».

     

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    • #226853
      Le Septembre 2012 à 11:59 par révolté
      Vers un nouveau désordre familial

      Quelles sont ces "études" que vous citées ?
      Tenir de tels propos vont totalement à l’encontre des mots d’ordre de ce site.
      Les musulmans français sont français et les français d origine maghrébine ou africaine sont français.
      Ne confondez pas musulman et maghrébin d’ origine car vous contribuez à répandre cet amalgame mensonger véhiculé par l’ état et auquel vous avez cru aveuglement sans chercher à comprendre réellement ce qu’est un musulman.
      Vous contribuez également à promouvoir l’ absurdité selon laquelle les enfants d’immigrés représentant la deuxième ou troisième génération sont des étrangers alors qu’ils autant français que vous.

       
  • #235139
    Le 5 octobre 2012 à 22:41 par christophe.b
    Vers un nouveau désordre familial

    je crois que je n’ai rien lu ou entendu d’aussi juste sur le sujet que ces parties 1 et 2 . du fond du coeur Merci .
    malheureusement je peu dire ( en t’en qu’homo ) que je n’imagine pas un seul instant le publique LGBT ainsi que les lecteurs de Têtu capable d’avoir suffisamment d’autonomie critique et d’honnêteté moral , pour pouvoir entendre ça ...d’ailleurs combien le lirons ? , ils ont trop peur de se regarder en face ! et ne supporte pas l’inconfort .
    (le milieu LGBT est incapable d’auto critique ,
    alors celle venant des autres , faut pas rêver) .
    et puis c’est toute l’arnaque / l’illusion qui d’un coup s’écroule , entrainant la mort du Lobby ( imaginer un peu tout ces moutons perdu sans leur maitre ).
    car faut bien le dire :
    " un pédé bobo , bling bling - seul - ça n’ouvre jamais sa gueule "
    ( un bon pédé ça ne pense pas , ça consomme ! ) .

    salut e&r

     

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