Le refus français du survol de notre territoire national par le président bolivien Evo Morales, sous prétexte qu’Edward Snowden aurait trouvé place dans son avion, traduit un asservissement honteux de la France aux États-Unis.
Caniche de Washington sous Nicolas Sarkozy, au point de revenir dans le commandement intégré de l’OTAN, le gouvernement français continue sous François Hollande d’abaisser la France en obéissant systématiquement aux désidératas de Washington.
La France qui interdit son espace aérien à un chef d’État, Evo Morales, n’est pas la France éternelle que nous aimons et que nous défendons. Sa voix n’est pas celle de la France libre et indépendante, mais la voix d’une caste UMP et PS qui depuis des années n’est pas capable de vivre sans se donner un maître : Berlin le matin, Bruxelles le midi, Washington le soir.
Marine Le Pen prend l’engagement devant les Français de rompre avec cette politique de soumission et de se battre pour le rayonnement et l’indépendance de notre pays. Elle se battra pour redonner sa liberté et son rang à la France, par une défense nationale et une politique étrangère conformes à ses intérêts propres, libérées des carcans multiples que sont l’Union européenne et l’OTAN. Pour l’heure, elle réitère sa demande de voir notre pays accorder l’asile politique à Edward Snowden.