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Soral chez Kentra : son combat

Sport et politique sont liés, comme parties d’un tout, pour reprendre Hegel. Alain Soral passe ici de l’un à l’autre avec dextérité.

 

La première partie du Kentra-Soral

 






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1 Commentaire

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  • #3470121
    Le 25 décembre à 15:08 par ANONYME
    Soral chez Kentra : son combat

    Soral chez Kentra



    Le terme relatif à la conscription dont il est question au début de l’entretien est le conseil de révision qui était chargé d’examiner l’aptitude à faire le service militaire et, éventuellement, les cas d’exemption.

    Dans chaque département siégeait un conseil de révision composé du préfet, de représentants du conseil général et du conseil d’arrondissement, d’un officier général ou supérieur. 

    Le conseil se déplaçait dans les différents cantons, il était assisté d’un membre de l’intendance, du commandant du recrutement et d’un médecin militaire. 

    Pour chaque canton, était dressée une liste du recrutement indiquant les conscrits bons pour le service, les engagés volontaires, les dispensés et les ajournés.

    Les conscrits nés en 1948 furent les derniers à passer sous sa toise, en 1967.

    Jusqu’en1998, tous les Français de sexe masculin ont été recensés et inscrits sur des tableaux, des listes ou des registres dans le cadre de la conscription militaire, le plus souvent l’année de leurs vingt ans. 

    En 1996, Jacques Chirac prend la décision de professionnaliser les armées et de suspendre le service national, cette décision prend effet avec la loi du 28 octobre 1997.

    En 2001, la conscription est arrêtée au profit d’un « parcours citoyen » pour les jeunes, hommes et femmes, à partir de leur seizième anniversaire. 

    Le service national est remplacé par un service volontaire pour une durée variant de un à cinq ans.

     

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