Ce n’est pas aux noirs de réagir mais aux autorités légales de réagir !
La remarque de Klarsfeld disant que les juifs sont plus vigilant que les noirs signifie que chaque citoyen doit faire attention à ce qui arrive à ses semblables, non pas en fonction de sa nationalité mais en fonction de son ethnie (juif, noir, arabe, jaune...). Cette remarque montre sa vision communautaire et donc racialiste de la société française, qui pourtant se basait sur l’assimilation.
La citation du CRAN prouve bien qu’une association communautaire se substitue dans leur esprit aux autorité de l’état. Il faut vraiment être communautaire pour penser comme un communautaire !
Il faut noter qu’il répond là à une question de Daniel Schneidermann qui commence par : "Si au lieu d’être un dérapage raciste anti-noir, cela aurait été un dérapage antisémite..."
Cette question est racialiste en elle même, finalement Klarsfeld et Schneidermann ne partage-t-il pas la même vision ou conception de la société française, dans laquelle une certaine catégorie de la population se considère comme appartenant à une ethnie différente des français et qui impose sa vision du monde au travers des médias, des associations soi-disant antiraciste... pour finalement communautariser la France, espérant ainsi former une mosaïque de communauté dans laquelle, elle se fonderait parmi tant d’autre ?
En parlant d’Auschwitz et de l’esclavage des noirs, Klarsfeld nous dit la traite négrière est beaucoup plus éloignée dans le temps !
C’est vrai !
Mais il est aussi vrai que le génocide du Rwanda dans laquelle les autorités françaises sont impliquées est beaucoup plus proche dans le temps que la Shoah. Quand on sait que le nazisme et le IIIe Reich n’existe plus et que les nazis sont tous morts, ont été jugé, sont des vieillards de 90 ans, on se demande vraiment pourquoi on nous assomme avec une dossier qui est clos depuis longtemps. Que cherche ceux qui passe leur temps à rouvrir le dossier ? Souhaite-t-il empêcher la France d’avancer ?
Donc parler de Shoah, n’est-il pas une manière de dévier le combat de la recherche des criminelles de guerre et/ou contre l’humanité. N’est-ce pas là avoir une lutte anti-fasciste de retard ? Et surtout, n’est pas une manière d’éviter que les responsables soient punis.
Il faut dire que le principale interessé à permis l’instauration des diners du CRIF et a vraiment fait de la surenchère communautaire pour faire oublier son passé de collaborateur, alors la communauté le défend coûte que coûte pour service rendu.
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