Depuis samedi 1er mars, les événements s’accélèrent en Ukraine. Le premier point important est le soulèvement des populations russes, russophones et minoritaires dans la partie Est du pays.
Le nombre de mairie où le drapeau russe a été installé est ici significatif. Dans certains cas, à Donetsk et à Kharkov, on a assisté à des manifestations de très grandes ampleurs qui, si elles n’ont pas été ignorées par les journalistes occidentaux, n’ont pas eu droit à la même couverture médiatique que les manifestations de Kiev de ces dernières semaines.
On supposera que c’est par manque de place et en raison des pénuries de papier qui sévissent dans notre beau pays que les journalistes se sont donc censurés sur ce sujet…
I. Ces manifestations tant populaires que politiques, en particulier avec le drapeau russe, dessinent la carte d’une partition possible, mais qu’il est encore dans le pouvoir des acteurs de chaque camp d’éviter. On a représenté sur cette carte la ligne de démarcation entre la zone dite « pro-russe » et la zone « pro-ukrainienne ».
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Voir aussi, sur E&R : « Personne n’a intérêt à une partition de l’Ukraine »