Mauvaise défense.
Ce qu’essaie de faire le tribunal de la mascarade c’est de condamner le Professeur Faurisson à de multiples peines pour les mêmes faits (qui ne sont aucunement des délits et même s’ils le sont ils ne devraient pas l’être). Il a déjà été lourdement condamné en total irrespect de la plupart des principes fondamentaux du Droit. Ils veulent en plus lui infliger une peine supplémentaire qui n’a aucunement lieu d’être : en plus de tout ce qu’il a subi, il devrait subir une peine spéciale et non-inscrite dans le Droit : l’ostracisation, c’est-à-dire, en fait, le refus de le considérer comme un citoyen mais au contraire l’affubler du statut de paria. Faurisson a le droit de monter sur une scène ; si ce n’est pas le cas, que le tribunal le prouve ! Quand des criminels sont invités à la télé, bafouant au passage les familles des victimes, que fait le tribunal de la mascarade ?
A propos du professeur, si dette à la société il y avait, il n’y en a plus aucune puisque la peine est purgée. Pas de double peine : on ne peut pas être condamné deux fois pour le même délit, a fortiori quand le délit n’est pas constitué et encore moins défini, et même s’il l’était il n’en demeurerait pas moins absurde. Aux lois scélérates il faut résister.
L’Europe ou la seule zone où les racailles violeurs multirécidivistes ont droit à toutes sortes de mesures de réinsertion en lieu et place de « payer leur dette à la société » (concept complètement con qui permet à la racaille merdiatico-politique de terroriser la population en agitant des déchets au lieu de les enfermer / exécuter) mais où parallèlement les historiens n’ont jamais fini de payer.
Même traitement que contre le Menhir alors que Faurisson est encore plus courageux et hélas encore plus vulnérable. Je connais beaucoup d’intellectuels et aucun n’a ni la rigueur ni l’exactitude ni surtout le cran de Faurisson, et tout ça pour le seul amour de la vérité. Quelle noblesse ! On ne touche pas au meilleur des professeurs, c’est tout. Faurisson est le dissident absolu, il est même le saint patron de la dissidence.
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