L’animateur culturo-mondain LGBT Christophe Beaugrand a vu rouge quand Rémi Tell, fondateur du Peuple libre, a évoqué le code de Nuremberg (1947) à propos du vaccin et des expériences sur l’homme.
« Et là, à un moment donné si vous comparez la campagne de vaccination à l’Allemagne nazie, on va couper la conversation immédiatement, je suis désolé Rémi Tell, vous êtes allé trop loin donc c’est terminé, merci beaucoup, on peut couper Rémi Tell ! »
La réaction de Rémi Tell :
Notez les expressions furieuses des deux autres personnages en plateau, 100 % pro-vaccin et complètement déconnectés de la réalité des Français. Écoutons d’abord le gros frisé à lunettes :
« C’est notre liberté qu’on est en train de perdre parce que des gens ne veulent pas se faire vacciner ! »
Virginie Le Guay, journaliste très communautaire
Écoutons maintenant la vieille blonde, « éditorialiste » (on sait ce que ça signifie) sur LCI :
« J’ai dit que se faire vacciner était un devoir civique ! »
À côté d’elle, la sioniste ultra Élisabeth Lévy est un amour !
Pour la situer, on a retrouvé une analyse profonde de Virginie sur l’affaire Sarah Halimi. Le débat, lancé par Valérie Expert, commence à 21’55 :
« Comment peut-on reconnaître l’antisémitisme d’un acte et dire que comme il était sous emprise délirante, il n’est pas responsable de cet acte ? J’ai beaucoup beaucoup de mal à comprendre ça. »
L’OJIM a proposé un portrait de Virginie, qualifiée d’agressive et de manipulatrice, lors de son débat avec (ou plutôt contre) Étienne Chouard le 14 mars 2019 chez Éric Brunet (RMC)..
Il ne lui vient pas à l’idée que la presse française est accusée de cela justement, de forger l’opinion des gens, de la manipuler. Pourquoi ? Chouard ose le dire : les « conneries », comme dit Brunet, sont aussi dites chez les journalistes et chez les élus. Le Guay trépigne et pète un câble. Chouard demande des avis divers et des controverses, des opinions éclairées : c’est cela que Le Guay ne comprend pas. Pour elle, hors de son opinion et de l’opinion dominante, il n’y a pas de lumière. Chouard n’arrête pas de refuser d’imposer un sens à deux interlocuteurs qui n’arrêtent pas justement… d’imposer un sens. Le Guay se fâche et revient à Meyssan, son objectif étant de montrer que Chouard serait complotiste quant au 11 Septembre. Son erreur, à ce pauvre Chouard : ne pas faire son autocritique en direct.
Virginie Le Guay est, ce jour-là, un procureur de type parti communiste d’autrefois, avec une seule solution pour survivre : que Chouard admette les versions officielles. Ce dernier insiste : « je n’ai parlé qu’une fois dans ma vie du 11 Septembre ». Une chose amusante sur cette question est que la suite du 11 Septembre a entraîné une guerre qui fut fondée sur de… fausses preuves, elles-mêmes produites par un gouvernement et relayées par toute la presse mondiale, dont Paris-Match. Sans compter par exemple les charniers de Timisoara un peu plus tôt, où l’arrêt des risques nucléaires à la frontière de l’est de la France, etc. Il n’y a plus de journalistes mais seulement des accusateurs, des procureurs, sur le plateau.
Christophe Beaugrand, l’ex-animateur de la chaîne porno gay Pink TV
Avec Virginie et Christophe, LCI tient donc deux sacrés commissaires politiques communautaires qui défendent logiquement la version officielle du 11/09, la campagne de vaccination massive du Big Pharma contre des millions d’innocents non malades, et qui nettoient les médias de toute parole différente, déviante, hors ligne du pouvoir profond.
D’accord pour la différence sexuelle, pas pour la différence politique !
« C’est incroyable, pas facile à raconter, cet espèce d’amour inconditionnel pour ce petit être dont on se dit qu’il va falloir s’occuper et tout faire pour qu’il ait la plus belle vie possible », a expliqué avec émotion la star de 42 ans, avant d’ajouter qu’ils s’y préparaient « depuis tellement longtemps ». Le couple, qui s’était marié en juillet 2018, a en effet dû patienter deux années et effectuer de longues procédures pour enfin avoir le bonheur d’accueillir ce petit garçon. (Christophe à Paris Match)
Pour donner raison à Rémi Tell contre les chiens de garde du Système :
le code de Nuremberg de 1947 sur les expérimentations
1 – Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.
2 – L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens : elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.
3 – Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.
4 – L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et out dommage physique et mental, non nécessaires.
5 – L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu´elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.
6 – Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.
7 – On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.
8 – Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.
9 – Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller.
10 – Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.