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Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

Pour la banque de Wall Street, tout est bon pour se faire un paquet de fric. Après les subprimes ou la spéculation sur les produits alimentaires, le trafic sexuel et la prostitution ! Goldman Sachs a investi au sein d’une entreprise impliquée dans de nombreuses affaires de trafic sexuel aux États-Unis, révèle un journaliste du New York Times. Bientôt une cotation sur les enfants mineurs forcés à la prostitution ?

Voilà une information embarrassante pour Goldman Sachs, qui vient ternir un peu plus sa réputation : la banque financerait indirectement un site internet qui joue un rôle important dans la prostitution et le trafic sexuel de mineurs aux États-Unis.

L’affaire a été dévoilée dans les colonnes du New York Times par le chroniqueur Nicholas D. Kristof (deux fois lauréat du prix Pulitzer). Celui-ci enquêtait sur le financement du site Backpage, qui détient 70 % du marché des annonces de prostitution et d’escort-girls aux États-Unis [1]. Le site appartient à une opaque société du nom de Village Voice Media.

Le journaliste du New York Times s’est procuré des informations concernant cette entreprise : 16 % du capital est détenu par la banque d’investissement Goldman Sachs. Malgré les tentatives du site pour écarter les annonces liées à des activités non légales, celui-ci reste le principal forum de trafic sexuel de mineurs dans le pays.

Une situation dénoncée notamment par 19 sénateurs qui ont envoyé un courrier à la compagnie, citant de nombreux exemples de procès en cours sur des affaires de trafic sexuel de mineurs dans lequel le site a joué un rôle. Une pétition a également recueilli 223 000 signatures, mettant la pression sur Village Voice Media.

Irresponsable, pas coupable...

Difficile dans ces conditions pour Goldman Sachs d’ignorer les activités dont est accusé le site. D’autant que la banque de Wall Street y est très impliquée : l’un de ses dirigeants, Scott L. Lebovitz, a siégé au conseil d’administration de Village Voice Media pendant des années.

« C’est un investissement minime pour une grande entreprise, et je n’ai aucune raison de penser que les cadres supérieurs de Goldman étaient au courant de sa connexion avec le trafic sexuel », nuance le journaliste.

Mais, poursuit-il, « depuis plus de six ans [2], Goldman détient une participation importante dans une société connue pour ses liens avec le trafic sexuel, et a participé au conseil d’administration de l’entreprise pendant quatre années.

Il n’y a aucune indication que Goldman ou quelqu’un d’autre ait jamais utilisé sa participation pour exhorter Village Voice Media à abandonner les annonces d’escort-girls ou à vérifier leur âge ».

La banque se défend d’ailleurs de toute responsabilité. « Nous n’avions aucune influence sur les opérations », assure un porte-parole de Goldman Sachs. Cela signifie-t-il que son managing director présent au sein du conseil d’administration est un fieffé incompétent (payé combien de millions de dollars ?) ?

Apprenant que le journaliste enquêtait sur les propriétaires du site, la banque a cherché frénétiquement à se débarrasser de ses actions, affirme Nicholas D. Kristof. Elle l’a contacté il y a quelques jours pour l’informer qu’elle venait de signer un accord pour vendre sa participation à l’entreprise. Après six années de juteux retours sur investissement ?

Goldman Sachs, en partie responsable de la crise financière actuelle, continue parallèlement de spéculer sur tout ce qui bouge : denrées alimentaires et matières premières, énergies sales, dettes publiques…

Agnès Rousseaux

Notes

[1] Selon le centre d’analyse des médias et de la publicité Aimgroup.

[2] Goldman Sachs est entré au capital de Village Voice Media en 2000, le site Backpage a été racheté par la compagnie en 2006

 






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11 Commentaires

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  • #131630
    Le 7 avril 2012 à 23:36 par Toni
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    Goldman Sachs specule egalement sur les gens incarceres, puisque les prisons sont prives aux Etats-Unis. Je n’ai plus la source, mais j’ai lu ca il y a de ca un an environ. Donc ceux qui investissent avec eux ne savent pas exactement sur quoi ils speculent, comme la dans cet article ou est invoque la prostitution.

     

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  • #131696
    Le 8 avril 2012 à 02:33 par Jasmin Indien
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    Il serait plus facile de dire ce sur quoi G.S. ne spécule pas. Miser sur les trous du cul, l’Amérique et l’Angleterre sont passés maîtres en la matière. Au bois et aux abois.

     

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  • #131707
    Le 8 avril 2012 à 05:39 par fifty miles
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    L’infamie a un nom : La FED. 200 ans de prédation de la part des familles bancaires de la FED, les plus grands criminels auquel le monde a jamais été confronté. Alors la prostitution enfantine pour la banque Goldman sachs ? un point de détail dans une longue série de turpitudes scélérates et mortifères.

     

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  • #131716
    Le 8 avril 2012 à 07:39 par otto
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    Rien d’étonnant.
    Après la destruction économique et sociale de la Grèce (femmes et enfants disponibles plus facilement) ... il faut bien que Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel.

    En plus de considérer les personnes (non élues) comme de la simple marchandise, les "Goldman Sachs" haïssent ces personnes. "Ils" agissent donc par sadisme dans le but de les punir et de les asservir par tous les moyens.

     

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  • #131778
    Le 8 avril 2012 à 12:22 par Marion
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    Oui, voilà le monde que nos zélites nous proposent pour demain, pour nos enfants et nos petits-enfants.

    Une autre information, dans le même ordre d’idée :

    http://www.c-fam.org/fridayfax/fren...

    Ce projet, comme je le comprends, c’est une orientation, sans violence, de la société vers la reconnaissance de la pédophilie. Ni plus, ni moins.

    Tous ces salopards en haut de la pyramide sont d’accord sur tout, absolument TOUT ; le Nouvel Ordre Mondial est leur feuille de route.

     

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  • #131803
    Le 8 avril 2012 à 12:52 par Intifada
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    Ce qui en dit long sur l’origine de cette pieuvre géante qui étend ses tentacules sur le monde.

     

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  • #131949
    Le 8 avril 2012 à 17:05 par Grandi
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    Backpage est un site de petites annonces gratuites, dans lequel l’annonceur peut améliorer la visibilité de son annonce en payant.

    Comme dans la majorité des sites de ce genre, on y trouve de tout : vélo, outils, voiture, plombier polonais, ... Il n’y avait donc pas de raison que les escorts-girls ne s’y annoncent pas.

    Cette nouvelle est de la pure démagogie. Elle équivaut à dire que la marie de Paris soutient Marine Le Pen parce que le FN a des locaux à Paris.

     

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  • #131979
    Le 8 avril 2012 à 18:33 par samra
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    Rien de nouveau sous le soleil, toujours la même élite sioniste satanique ( blankfein ,lobovitz, lehman brothers , madoff ,horowitz,rumsfeld , kissinger , rothschild )qui non seulement dirigent le monde mais qui le corrompt d’une façon ignoble !( j’ajouterai Marcel Herskovits alias marc dorcel producteur de films x ) .Ces sinistres personnages de la banque ,de la politique, ( la défense ), de la pornographie , du cinéma jewlywoodien oups hollywoodien ( warner’s,goldwin, mayer, zukor et j’en passe ) ont un point commun (à part leur prétendue "judaité"), ils sont ashkénazes ( juifs d’Europe de l’Est ). Comme si cette communauté avait un compte à régler.... !

     

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  • #131982
    Le 8 avril 2012 à 18:41 par samra
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    suite
    Il faudrait m’expliquer sérieusement ce qu’ils ont de juif en eux ,descendants de sémites ,impensable. Juifs de confession ,respectant la torah ,les dix commandements ( entre ceux qui pratiquent l’usure , l’autre dans la pornographie ,un autre dans les guerres meurtrières....). Qu’est ce qu’ils ont de juifs en eux ???? Je pense sérieusement que la shoah a été l’élément déterminant( et provoqué ) pour asseoir définitivement leur puissance !

     

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  • #132072
    Le 8 avril 2012 à 21:45 par nanothermite
    Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel

    Notes sur l’ouvrage d’Israel Shahak, Jewish History, Jewish Religion :

    Mariage et relations sexuelles
    Puisque « la chair des goyim est semblable à celle des ânes et que leur rut est comme celui des étalons », (Ezéchiel 23 20) les relations sexuelles d’un j**f marié avec une go-ya ne sont pas de l’adultère mais de la bestialité. Selon Maïmo-nide, toute femme non-j**ve est considérée comme non purifiée de ses mens-trues, esclave, païenne et prostituée (nid dah, shif tah, go yah, zon ah). Par conversion elle perd les trois premières marques mais reste toujours zo-nah (prosti-tuée) pour le restant de ses jours. Pour une femme, la conversion au judaïsme est assortie de conditions humiliantes : inspection corporelle par trois rab bins après avoir été dénudée lors d’un bain de purification. On imagine les hurlements médiatiques si l’église catho lique se permettait le moindre projet en ce sens.

    Selon l’Encyclopédie talmu dique, le j**f qui a des rapports charnels avec la femme d’un Gen til ne mérite pas la peine de mort. Selon ce qui est écrit : « La femme de ton prochain et non la femme de l’étranger » et le précepte selon lequel « un homme restera fidèle à sa femme » qui est adressé aux Gen tils ne s’applique pas au j**f parce qu’aux yeux de la Loi il n’y a pas de mariage valide entre les Gen tils. Cette interdiction ne s’adresse donc pas au j**f. Cela ne veut pas dire que les rapports sexuels entre un j**f et une go-ya sont permis, bien au contraire. Mais la punition principale est infligée à la goya et doit être exécutée même si celle-ci a été violée par le j**f. Lorsqu’un j**f a un coït avec une go-ya, cette dernière, qu’elle soit une enfant ou une adulte, qu’elle soit mariée ou non, et même si elle est une mineure âgée seulement de neuf ans et un jour, par le fait même qu’elle a eu un coït « volontaire » doit être tuée, comme c’est le cas pour une bête, simplement parce qu’elle a occasionné des ennuis au j**f. Cependant celui-ci doit être fouetté et, s’il est un Ko-hen (membre de la tribu des prêtres), il doit recevoir deux fois plus de coups de fouet parce qu’un Ko-hen ne peut avoir de rapports sexuels avec une prostituée et toute femme non-j**ve est présumée être une prostituée.

     

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