Ce qu’il y a de bien avec le droitard, c’est qu’on n’est jamais déçu. Il est si absolument, si totalement, prévisible que c’est du véritable pain béni pour tout analyste politique en (pot de) chambre.
Ainsi, à l’horizon 2012, après 5 années d’envolées lyriques sur le déclin de la France, de dénonciations véhémentes des « trahisons » umpesques et de diatribes aussi brillantes que virulentes sur la nation éternelle en danger, s’apprête-t-il tranquillement à revoter Nicolas Sarkozy pour « faire barrage au retour des socialistes ».
« Faire barrage aux socialistes » c’est son grand dada au droitard. C’est même sa seule véritable obsession, pour ne pas dire sa seule idée.
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