Trois juges d’instruction ont décidé d’enquêter pour déterminer si Nicolas Sarkozy s’est rendu complice d’une violation du secret de l’instruction lors de la diffusion d’un communiqué par l’Élysée sur l’affaire Karachi le 22 septembre 2011.
Des familles de victimes de l’attentat de Karachi avaient porté plainte le 18 juin 2012 contre l’ancien président à la suite de ce communiqué de l’Élysée qui affirmait que "s’agissant de l’affaire dite de Karachi, le nom du chef de l’État n’apparaît dans aucun des éléments du dossier". A l’encontre des réquisitions du parquet
Les juges sont allés contre les réquisitions du parquet, qui estimait qu’il n’était pas possible de poursuivre Nicolas Sarkozy, en vertu de l’article 67 de la Constitution stipulant que le président de la République "n’est pas responsable des actes accomplis en cette qualité".
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