Nicolas Bedos était poursuivi avec l’hebdomadaire Marianne pour avoir insulté la présidente du Front National. La 17ème chambre du tribunal correctionel a requis la relaxe pour l’humoriste.
Poursuivi pour des injures proférées à l’encontre de Marine Le Pen, Nicolas Bedos n’a pas été condamné. Ce dernier avait traité la présidente du FN de "salope fascisante" dans les colonnes de Marianne.
Dans une chronique publiée en janvier 2012, il avait critiqué les idées droitières de l’ex-ministre de l’Intérieur Claude Guéant en ces termes : "Ne laissons pas le terrain à Marine, la VRAIE méchante (...) Sauf que personne n’empêchera quelques idéalistes rigides de penser qu’à force de singer la salope fascisante celle-ci est déjà au pouvoir".