Parmi les quelque 700 scellés associés au dossier, un gilet pare-balle. Celui que portait Mohamed Merah au moment de l’assaut du RAID contre sa « forteresse », un appartement en rez-de-chaussée de la rue du sergent-Vigné, à Toulouse.
Selon la Dépêche du Midi, les enquêteurs auraient eu la mauvaise surprise de constater que ce gilet de protection, qui a permis au jeune forcené de résister sous le déluge de feu (300 cartouches ont été tirées au moment de l’assaut, dont 30 par Mohamed Merah), avant de mourir d’une balle dans la tête, portait l’estampille de la Police Nationale...
D’où vient cet arsenal ?
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