Un prof qui prendrait la défense de LF Céline dans la salle des profs ou à la cantine se ferait immanquablement inspecter - et virer .

Répondre à ce message

J’aimerais rassurer Mme la caissière que Thomas est à mille lieux de s’en en prendre à vous ! L’agression vous la subissez déjà ! J’ai le regret de vous annoncez que " l’agresseur " est déjà à l’œuvre profondément à l’intérieur de vous ! L’agresseur est, et je vous le dis pour vous aider ; l’agresseur est votre "ignorance" ! Acceptez que la plus grande source de liberté se retrouve dans la connaissance ! Très humblement, Mme la caissière, je vous suggère de lire et étudier avec beaucoup d’attention "Comprendre l’empire" de M. Alain Soral.
L’ignorance est pardonnable mais le refus d’apprendre nous emprisonne !
En toute amitié Mme la caissière je prie pour votre libération. Bonne journée xxx

Répondre à ce message

Il y a quelque chose de pourri au royaume du livre.... Je n’oublie pas la censure qui frappe les bouquins de Kontre Kulture. Et je suis frappé du manque de protestations face à cette décision légale. J’en parle autour de moi et cela ne provoque pas beaucoup d’indignation. Ce qui est parfois compréhensible, mes interlocuteurs ayant d’autres cultures et d’autres chats à fouetter.
Avec cette histoire de licenciement, il apparaît que même des libraires, des lettrés ne prennent pas la mesure de ce qui se joue. Ou plutôt ne peuvent pas prendre la mesure. Une librairie fait partie d’une "scène culturelle" locale, en lien avec de nombreux acteurs : associations, lieux de spectacles, radios locales, presse locale, théâtres et autres maisons de la poésie, cinémas Arts et Essais. Ajoutez-y les revues spécialisées, le réseau des éditeurs, les écrivaillons du coin qui font des "ateliers littéraires". Bref tout un écosystème encadré par les politiques municipales, régionales et pour quelques temps encore, départementales. Et être tricard dans ce milieu-là, ça arrive très vite.
Ce ne sont pas les contenus soraliens qui sont à mettre en cause. C’est la consanguinité, le provincialisme, la peur, le bon goût officiel. Tous ces mécanismes de paralysie bien français. Des mécanismes qui peuvent être liés au capitalisme mondialisé, à la régionalisation qui fait des baronnies, à la comédie humaine ordinaire. Ce qui met vraiment mal à l’aise c’est quand toutes ces causes s’empilent. Jusqu’à ce que la situation deviennent contre-productive, jusqu’à ce que le système mute. Il faudra donc attendre la prochaine mutation. En espérant que le rapport de force à ce moment soit fructueux. Pas uniquement dans les domaines des habitudes de consommation culturelles. J’ajoute : tout sauf ça

Répondre à ce message

Je viens de poster sur le site de cette librairie : Bonjour, je viens d’être informé du licenciement d’un de vos vendeurs au motif qu’il aurait mis en avant le livre d’Alain Soral, Comprendre l’Empire. On peut ne pas être d’accord avec cet auteur, à titre personnel. Mais n’est ce pas un mauvais coup porté et à la république des lettres et à la république tout court que de refuser le débat démocratique dont les livres ont toujours été les plus sûrs vecteurs ?

Bon, à la relecture, la formulation est un peu lourdingue mais l’idée y est. Quant à la réponse à venir, elle ne m’intéresse pas vraiment.

Répondre à ce message

commandez vos livres dans une librairie... vous n’aurez pas d’annulation de vos commandes ! Decitre c’est le mcdo du bouquin...

Répondre à ce message

Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark...Après les livres d’Henri Ford, Léon Bloy (je répète : Léon Bloy !), le Drumont, le Blanrue et le Reed, les livres d’Alain Soral ne sont plus vraiment casher (sans parler des trois pamphlets de Céline) même pour les diffuseurs censés s’en foutre de ce que lisent les gens. C’est bien qu’un livre reste subversif et prétendument dangereux, ça lui fait de la pub, mais l’on voit venir petit à petit un Fahrenheit 451 et la disparition programmée de tout ce qui ne rentre pas dans la nomenclature "New World Order". Le pire (et je ne sais pas comment ils vont le gérer) c’est que ce qui marche comme type de livres c’est tout ce qui n’est pas dans la bien-pensance médiagogique : "la France Orange Mécanique" de Laurent Obertone, les bouquins de réinformation d’Histoire (Dimitri Casali, Laurent Deutsch...), les bouquins de Zemmour ou de Soral....en gros nous lisons plus que nos clercs censés nous éduquer : il est tant de changer de Clercs....

Répondre à ce message

je n’achète pratiquement plus que sur le net même si de temps en temps j’aime bien flaner dans une boutique mais quand on est pas sur Paris c’est plus dur de trouver son bonheur. Je trouve facilement mon bonheur et pas que pour les livres d’ailleurs , moi qui suit un dingue de musique.

Répondre à ce message

semblant de démocratie dans ce pays,les gens ont le droit de s’informer et de se cultiver librement en se faisant leur propre opinion sur un livre, ca n’en fait pas pour autant des extrémistes,dehors les censeurs,les inquisiteurs vivre la liberté d’expression vive la démocratie !!!!!

Répondre à ce message

Comment ne pas se révolter face un tel acharnement ?

Délation, diffamation, persécution... N’ayons pas peur des mots, contrairement à cet "oncle" complice de cette machination diabolique !
Et pendant ce temps-là, la France coule, des pédophiles sévissent en toute liberté, tout comme ces fraudeurs du Fisc et compagnie, des usines ferment laissant des milliers de gens sur le carreau etc... ( la liste est longue)
Mais au lieu d’attaquer les vrais problèmes, on préfère détruire la vie d’un jeune homme qui n’a rien commis de répréhensible. Son seul crime : s’être échappé de la secte "des moutons de Panurge". Cher payé non ?
Ecoeurant...

Bon courage à vous Thomas.

Répondre à ce message

J’ai travaillé pour eux et je connais bien le magasin de Grenoble.
Decitre a été repris par le fils suite au décès du Père. Le fils a vécu et travaillé longtemps aux US.

Répondre à ce message