Les États-Unis ont franchi un nouveau palier dans leurs sanctions contre l’Iran lundi, visant directement sa monnaie, le rial, et son secteur automobile, pour punir la république islamique de son manque de coopération dans le dossier nucléaire.
À moins de deux semaines de la présidentielle iranienne, le président Barack Obama a donné son feu vert à l’imposition de sanctions à des entités étrangères effectuant des « transactions importantes d’achat ou de vente de rials, ou qui détiennent des comptes (bancaires) en rials en dehors de l’Iran », a expliqué le porte-parole de l’exécutif américain, Jay Carney.
Dans un communiqué, M. Carney a noté que « si le rial a perdu la moitié de sa valeur depuis le début de 2012 en raison de nos sanctions tous azimuts, c’est la première fois que le rial est directement visé par des sanctions ».
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