Tout arrive en même temps, comme si le Ciel nous envoyait des signes clairs. Voilà deux journalistes et deux politiques du Système, au bout de leur logique, devant un mur, celui du réel.
ALERTE : Collusion entre médias et partis politiques.
Un extrait vidéo entre 2 journalistes et 2 cadres du PS a fuité.
Dans cet extrait, il est évoqué la volonté commune de créer un "axe de Ruffin à Canfin" qui ferait monter le candidat GLUCKSMANN aux présidentielles de… pic.twitter.com/P8LcdE2Z8z
— Glupatate (@Glupatate) September 6, 2025
Au fond, il s’agit des symptômes dans différents corps (on peut ajouter la police et la justice) d’une même maladie, la corruption, ou l’effondrement des valeurs. Corruption qui a tout pourri, les institutions, le fonctionnement démocratique, la confiance. Tout est pourri de l’intérieur, et les hommes qui font partie de ce Système pourrissent la France, c’est-à-dire tout ce qui fonctionne encore dans ce pays, tout ce qui a encore des valeurs ou de la valeur.
La corruption, au-delà d’un certain seuil, contamine et détruit un pays entier. Elle contamine par les esprits, c’est la « responsabilité » des médias. Il n’y a plus de lois car les tenants du Système n’en ont pas, n’en veulent pas, tout simplement. Ces malades sont les porteurs inconscients d’une maladie contagieuse, pour le coup plus grave que la pandémie de covid. Malade de la tête, ce pays ne peut fonctionner normalement.
ARCHIVE - Quand Patrick Cohen faisait l’éloge, pendant 3 minutes, du programme produit par Raphaël Glucksmann (Place Publique) sur France Inter (24/06/2025).
On peut sérieusement se demander s’il ne lisait pas simplement un texte préparé par le mari de sa collègue, Léa Salamé. pic.twitter.com/HcJRQwh4oV
— Gabriel de Varenne (@G_deVarenne) September 6, 2025
Pris la main dans le sac, deux journalistes-Système tentent de se disculper, alors qu’ils ont piétiné contre de l’avancement et des postes en vue les valeurs du journalisme. Pour ces cerveaux malades, le piétinement n’est pas nouveau, il est permanent, consubstantiel, et on le signale régulièrement sur ce site. Le pire, c’est qu’ils sont élevés en grade et proposés en exemple parce que justement ils sont corrompus, qu’ils ont trahi les valeurs du journalisme. Les vrais journalistes, eux, rament économiquement et juridiquement. Ils connaissent toutes les variantes de la répression.
Il y a deux races de journalistes, les collabos et les résistants, avec la piétaille au milieu : les premiers font la retape du Système, se rabaissent moralement, mais sont protégés par leur salaire et par la justice, elle-même corrompue par le haut. Les seconds sont dans le dur, et subissent tous les coups possibles de la part des médias, de la justice et de la police, tous aux ordres des mêmes. Ce jeu déloyal a l’air perdu d’avance, mais l’affaissement des valeurs constitue une faiblesse absolue. Il faut juste tenir sous les coups, et la foi est là pour ça. De l’autre côté, il n’y a plus de foi, par définition : ni foi ni loi.
Voilà pour la vision globale. Maintenant, entrons dans le détail. Le propagandiste Thomas Legrand a été suspendu par France Inter (ce n’est pas très douloureux) tant sa corruption [1] est visible, et audible. Liste Noire Cohen est toujours en poste, pour des raisons mystérieuses, alors qu’il cachetonne lui aussi au service public audiovisuel (SPA).
Legrand a écrit un billet auto-pleurnichard dans Libé, mais il est déjà condamné. Il va prendre doublement cher, pour lui et pour Liste Noire, avec sa tête de boloss. C’est dans l’ordre des choses, en république des forces occultes. Devant le tableau des deux pestiférés, la presse mainstream hésite : doit-elle sacrifier ces deux moutons noirs ou les défendre ? Doit-elle éliminer les patients alpha ou attendre de tomber malade à son tour ? Malheureusement, elle est piégée, car elle est déjà pourrie par le politique, qui est lui pourrissant, au sens actif et au sens passif.

Essayant de prendre un peu de hauteur et de recul, même Alain Duhamel prédit dans Le Monde la fin d’un Système. À la différence de nous, il ne le qualifie pas de pourri. Le danger, pour lui, reste le populisme, c’est-à-dire la démocratie directe.
Pour ces raisons, je pense qu’on vit à la fois une crise de régime et une crise de société. Le rejet par les Français des institutions, des partis et des responsables politiques atteint un niveau inédit, avec la tentation, très préoccupante à mes yeux, de remplacer la démocratie représentative par la démocratie d’opinion.
Pourtant, Dudu a fait une sortie sacrément populiste, en attaquant Bayrou sur son physique.
BFM laisserait-il sans réagir Duhamel parler de la sorte du physique d'un dirigeant politique français ?
On est plus proche ici des propos de comptoir d'un ivrogne au bord du coma éthylique que d'une analyse journalistique...
Quel triste naufrage que celui des médias français. pic.twitter.com/vrtM5U7rdK— Jean Louis (@JL7508) September 5, 2025
Pas très digne, ça, pour un donneur (et vendeur) de leçons ! Dans le même registre, on a retrouvé deux exemples de dignité journalistique chez Cohen & Legrand. Merci aux archivistes de l’IC (intelligence collective) de X.
Thomas Legrand, ce n’est pas ce grand humaniste, qui pouffait de rire quand la Colosimo (future conseillère de l’enculé) se réjouissait que les non vaccinés allaient tous mourir de ne pas avoir pris l’injection ? @NiONiPardon pic.twitter.com/5jsV9diU5Z
— François (75 / 20) (@francoisros) September 6, 2025
Vous souvenez de la violence de cet édito contre le Pr Raoult ? (cf vidéo )
« Ne vaut pas un clou »
« Méthodes douteuses »
« Semeur de doutes »
« Supercherie »
Etc. Etc.Il n’y a jamais eu de journalisme là-dedans, toujours et partout un combat politique et idéologique !
Le… pic.twitter.com/RDa4XyTsyJ— Florian Philippot (@f_philippot) September 6, 2025
On se doute bien que ces deux ripoux seront immédiatement remplacés, tant la gamelle est bonne. Mais la gamelle a un prix à payer : des effets secondaires graves dans le cerveau, et dans l’opinion. Les gens vous détestent à la mesure de votre corruption, de votre mensonge, de votre traîtrise. Pour combien accepteras-tu d’être détesté par le peuple ?
Quand l’employé de la Banque rend le peuple responsable de la dette
Bayrou tient absolument à ce qu’on le déteste à sa juste mesure donc il multiplie les passages télés où il se fout de nous pour qu’on ne l’oublie pas
Ça marche hyper bien
pic.twitter.com/s2LzGPf19s— Marcel (@realmarcel1) September 6, 2025