Ça couvait depuis des mois. Un article sur la souffrance des « transgenres » ici, une chanteuse qui gagne un concours là, un enfant qui change de sexe en Angleterre, des manifestants LGBT qui réclament justice après le refus d’un restaurateur de laisser une de ces créatures utiliser les toilettes femmes alors qu’elle est censée être un homme sur le plan civique... le Média mondial fait tout pour imposer l’indifférenciation des sexes et plonger les pauvres hétérosexuels dans la confusion.
Si la quasi-totalité des êtes humains n’est pas « transgenre », alors pourquoi les médias dominants transforment-il cette rare incongruité de la nature – il existe effectivement des êtes indéterminés sexuellement, ou aux organes sexuels à cheval entre les deux sexes – en phénomène de société, en question politique d’importance publique ?
C’est toujours pareil avec ces injonctions oligarchiques qui heurtent le sens commun et l’intérêt du plus grand nombre, dont on rappelle que c’est un peu la définition de la démocratie : il faut les décoder. Mais pas comme les Décodeurs du Monde, ces petits fayots payés par Big Brother pour empêcher le grand public d’aller jeter un œil sur l’information libre, indépendante et non trafiquée. Il faut trouver le lien entre les intérêts oligarchiques, ceux de la gouvernance mondiale, ou mondialiste, et l’opération en cours.
En l’occurrence, la médiatisation des travestis, indifférenciés sexuels, ou transgenres. Ce qui n’était qu’un épiphénomène du monde de la nuit est devenu un enjeu de société majeur ! Alors que les Français regardent du côté de leur porte-monnaie en période socialiste. À ce propos, les sur-ponctions en impôts et taxes du pouvoir actuel ont atteint la somme de 95 milliards d’euros pendant ce quinquennat, soit 20 milliards de plus pris aux Français par an. Mais ça ne fera pas la première page de Vogue Paris.
Le sujet, c’est donc la une du magazine français de mode, enfin, sa version française puisque Vogue est américain. Valentina Sampaio, Brésilien ou Brésilienne de formation, née garçon, pose en robe Saint Laurent. Le monde de la mode a toujours voulu être en avance sur les mœurs, et ça ne dérange pas le populo, en général, qui y voit une excentricité de plus. Cependant, derrière l’excentricité, il y a la volonté politique. Qui s’affiche même en accroche de couverture : « Comment elles bouleversent le monde ». On ne veut pas contrarier la rédaction en chef de Vogue mais cette couv ne va pas bouleverser grand chose. Les bombardements russes en Syrie ont bouleversé les choses, c’est-à-dire le plan anglo-américain, ça oui, mais un trav en couv, meme si ça fait partie d’un plan mondialiste, ça ne change pas la vie politique du pays.
« Nous sommes fiers de célébrer la beauté transgenre et la façon dont des mannequins comme Valentina Sampaio, qui apparaît sur sa toute première couverture de Vogue, changent le visage de la mode et démontent les préjugés »
Ah, les préjugés, c’était donc ça. Contre quoi ? Contre les travestis ? Non, c’est une invention. Il y a des moqueries, c’est inévitable, comme il y en a pour n’importe quelle différence (les punks, les nains, les obèses), et ça penche plutôt du côté de la bienveillance que du rejet. Ce que les relais de l’oligarchie appellent préjugés est en réalité la résistance devant un modèle de civilisation que l’écrasante majorité des gens rejette, celui de l’indifférenciation sexuelle, culturelle, nationale. C’est la « civilisation » de la consommation du macdo et du sexe pour esclaves divertis, soit une déculturation totale. Et ce modèle de société crée heureusement des résistances.
Alors mettre en avant des personnes nées avec le « mauvais » sexe revient à s’en servir de bélier contre une civilisation basée sur la différence homme-femme, le respect des enfants (car dans la destruction de toute frontière, il y a celle entre l’adulte et l’enfant, n’est-ce pas), de la famille, cette cellule qui permet à tous de vivre ensemble, plus ou moins bien certes, mais on n’a pas encore trouvé mieux. Les « transgenres » sont donc mis en avant contre la différenciation qui donne naissance à l’Amour, de la même façon que les racailles de banlieue sont utilisées pour affaiblir l’État et sa police, une police qui permet, in fine, à notre monde de devenir vivable.
Et l’oligarchie, à travers ces projets maléfiques, cherche bien à rendre notre monde invivable, pour que son emprise soit totale. On n’en veut donc pas aux « transgenres », mais à ceux qui les manipulent.