Hollande sert aujourd’hui de paravent et de tapis de sol, à toute une chienlit politique, de plus de 40 ans ... C’est connu, le dernier maillon prend forcément l’héritage des Autres en bien et en mal, qu’ils s’agissent de Giscard d’Estaing avec son regroupement familial et ses déboires africains (chasse à l’éléphant, diamant, avion renifleur), Mitterrand avec le traité de Schengen, la fin de la peine de mort d’où l’explosion criminelle de récidivistes extrêmement dangereux, une immigration exponentielle de droits sociaux, les 35 heures payées 39, les magouilles Urba graco et consorts, les écoutes téléphoniques insidieuses, et bien d’autres scandales, mais aussi, Chirac, l’idiot utile de la Gauche, tâteur de cul de vaches, profiteur du parapluie stratégique gaullien et de l’Hôtel de ville, et incapable d’adapter notre outil industriel, en concurrence sérieuse à l’époque avec l’Allemagne, d’où la fragilité et l’internationalisme de nos entreprises d’aujourd’hui, pleurnicheur de l’Histoire, surtout celle des Autres, comme avec les guerres Napoléoniennes en Espagne, en omettant les tristes pontons de Cadix et l’extermination de prisonniers français par la faim sur l’île de Cabrera, mais aussi, de la Mémoire, en comparant la France combative de De Gaulle avec le régime de Vichy. Que dire de l’avant-dernier, Sarkozy, cet immature nomade, touche à tout sans discernement, invente la discrimination positive, trahi par le traité de Lisbonne l’esprit démocratique du peuple de France, s’accoquine à un pantin américain junior et à des faucons de la finance, de l’armement pour s’engager dans des postures de caniche lors de déclarations de casus belli. Nous arrivons à l’heure H, celle d’un type qui déclarait d’être normal dans sa présidence, pourfendeur des profits, des banques, pour trahir comme St-Jean le prophète, avant le chant du coq. Ces hommes, placés par deux fois pour certains, à la haute présidence de la France, ont produit la lente mais inévitable régression de la France par manque de courage politique vis à vis du peuple de France qui n’a pas toujours raison. Le général l’avait compris quand il traitait de veaux certains français qui attendent la becquée, le mortel assistanat perpétuel, pour certains français, que des hommes et femmes politiques engraissent pour leur place élective au mépris de ceux qui paient durement cette idéologie. Hollande avait promis tellement de choses, comme les Autres d’ailleurs, que c’était prévisible, qu’il ne pouvait tenir.
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