Dimanche 1er novembre, nous relayons le clip promotionnel du CRIF pour censurer Twitter, une vidéo d’une minute aussi médiocre que stérile. Depuis, tout le Net se paye leur poire, car dans leur démonstration de l’antisémitisme du réseau social, ils ont inclus un compte... parodique :
En effet, les Nazislamistes ne sont qu’une bande de farceurs, qui détournent les slogans creux du type « Je suis Charlie », les couleurs arc-en-ciel du drapeau homosexuel, les diktats abêtissants de la propagande d’État, bref, la sémiologie dominante.
Même un nullissime « Hitler = muslim » aurait probablement fait marcher le CRIF, aveuglé par son obsession anti-antisémite, ce slogan étant de notre composition. Cependant, on ne sait jamais, un « créatif » de chez Publicis est capable de l’« emprunter », après un gros rail de coke.
Dans leur hâte de moraliser – certains avancent le barbarisme sioniser – le Net, dont l’aspect critique ne leur convient pas, les rois de la censure ont marché sur une mine. Désormais, leur crédibilité est nulle, si tant est qu’ils ont été crédibles un jour.
Côté Twitter, où sont les rieurs, on se tape des barres de rire, mais en restant poli, car on craint tout de même la colère des représentants de Yahvé, le dieu vengeur, ou vendeur, on sait plus trop. Cela dit, ça arrive à tout le monde de marcher sur une bouse, on n’en meurt pas.
Au fait, est-ce que rire du CRIF peut-être assimilé à de l’antisémitisme ?
Appelons quand même Maître Alain Jakubowicz, l’homme qui décrète ce qui est risible et ce qui ne l’est pas...