À Dieudo style :

Aujourd’hui je verrais plutôt Tiktok, et les réseaux sociaux en général, comme, entre autres choses, un outils permettant aux élites d’analyser où ils en sont du lavage de cerveau de la masse, à quel niveau etc... Les personnes dont tu parles sont des gens conditionné avec une circonvolution existentielle très restreinte, très encadré qui effectivement peuvent faire penser à du MK Ultra bien que pas non plus contrôler comme les "vrais" cobayes en quelques sortes et cela malgré que quelques simple tournures de phrases télévisuelle ou de radio peuvent effectivement leur faire tous adopter le même comportement comme par exemple, par exemple hein, avec le covid. En réalité ce qui est intéressant c’est que ce sont des gens qui incarnent d’eux-mêmes volontairement, mais pas plus consciemment que ça (ils pensent qu’ils le font de leur propre chef alors que c’est bien le système qui les pilotent à distance pour leur faire adopter un rôle bien défini qui commence à tel endroit et ne va certainement pas plus loin qu’un autre. Ils sont littéralement pensé par le système pour se croire libre), un personnage qu’ils sont fier d’interpréter, auquel ils vouent leur propre culte pour eux-mêmes finalement et comme dirait le diable dans "L’associé du diable" : "On rend bandant les rêves les plus tartes, à force de strates, de magie, de paillettes, et jusqu’à ce que le dernier des humains se prenne pour un empereur." C’est un peu pour ça que je fais un gros liens avec l’anus dans tous les spectres de la vie que tente par tous les moyens d’imposer le système car dans tous les cas, tout ne tourne plus qu’autour de ça dans cette dégénérescence individualiste stérile mais qui est fier comme un pan de déversé ses déjections existentielles au monde comme si c’était de l’or et avec justement une circonvolution de l’existence humaine aussi étriqué et puante qu’un trou du cul finalement.

Conditionnement + acculturation + mimétisme.

Mais ça pose une autre question : comment ces gens, ces jeunes, font pour s’aimer eux-mêmes ? il faut un minimum de dignité en principe.

Je crois que, au-delà de ces "réseaux sociaux", ce qui met tout le monde (je généralise) un peu en porte-à-faux c’est que chacun sait qu’il fait de la merde (bullshit job...) mais que c’est aussi le seul moyen de reconnaissance sociale... et que si tu préfères la qualité bah tu sors du troupeau et là tu peux t’en prendre plein la gueule (LBD...) et "ne plus être aimé" comme ceux qui ont perdu leur entourage en ne voulant pas obéir à l’opération Covid (masques, tests, piquouses).

Donc une forte tendance, mimétique, est de préférer se chier dessus, de savoir qu’on fait de la merde, pour rester dans sa "tribu" ou zone (de confort) plutôt que de se retrouver seul parce qu’on voudrait faire un peu mieux - le prix à payer étant de tirer un trait sur son amour-propre. Eux n’en auront plus jamais, surtout que les vidéos restent ensuite sur la toile.

C’est le règne du bas-ventre (en-dessous du diaphragme), plus du coeur ni de l’intelligence.

Oui effectivement, et puis de toute cette célébration de la médiocrité découle du coup de grandes confusions concernant l’amour où relationnellement tout n’est plus que du remplissage pseudo affectif par peur maladif de la solitude (car il se retrouverait face à eux-mêmes et ce serait trop difficile à supporter étant donné la bassesse dans laquelle ils se sont vautré et sans parler du néant de leur existence) et également de la masturbation où tout le monde s’encourage dans sa connerie car on ose plus dire des choses qui dérange (étant donné aussi qu’ils produisent tellement de la merde que si l’un démarre au bout de 5 minutes tout le monde fini par s’étrangler car entre la bêtise crasse, la prostitution des réseaux sociaux etc on en fini plus, preuve comme tu dis qu’en réalité ils sont conscients de faire de la merde mais ils se contorsionnent intellectuellement pour essayer de la savourer, "on prend ce qu’il y a à prendre") et de la découle justement cette stérilité incroyable de l’occident et d’où justement ce culte de l’anus au sens propre comme au figuré d’où jamais rien d’autre n’en ressort sinon des la déjections.

Tu la trouveras sur Odysee sur la chaîne Elo veut savoir.

C’est un sujet que vous ne connaissez pas, lisez les ouvrages d’Alexandre Lebreton, et rassurez vous, il n’a rien contre les Nazis !

@ Boblagratte

Les légendes autour de la seconde guerre mondiale, c’est plutôt de l’ingénierie sociale, ou contrôle mental des masses.

Le contrôle mental individuel, par l’utilisation du pouvoir dissociant induit par les traumatismes extrêmes et répétés, est connu et utilisé depuis la nuit des temps, notamment par les cercles occultes. Et il semblerait qu’Hitler lui-même en ait été victime (d’où probablement sa montée au pouvoir, ses hallucinations et son auto-destruction) : il a intégré l’Ordre de Thulé en 1919 (société secrète allemande pratiquant magie noire et sexuelle) avec pour mentor Dietrich Eckart, inspiré par les enseignements du fameux Aleister Crowley.

Selon toute vraisemblance, les racines du programme Mind-Kontrol remontent bien à l’Allemagne nazie, car ils ont été les premiers à expérimenter "scientifiquement" sur le contrôle mental, via l’utilisation de drogues, d’hypnose, et traumatismes en tous genres. Les Etats-Unis, constatant leur retard dans ce domaine, se sont empressés de récupérer ces scientifiques après-guerre avant que l’URSS ne leur mettent la main dessus, afin de les intégrer aux projets gouvernementaux sur la programmation mentale (certains survivants américains rapportent avoir entendu parler allemand, ou observé des symboles évocateurs sur leurs "médecins").

Effectivement, Alexandre Lebreton l’explique très bien dans "MK, Abus rituels et contrôle mental, Outils de domination de la "Religion sans nom", plus de 600 pages d’informations sourcées, si le coeur vous en dit...