Le député du Nord Christian Vanneste estime à juste titre qu’il y a deux poids et deux mesures :
En effet Premièrement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, absout un politicien socialiste qui s’égare dans le vocabulaire nazi.
Deuxièmement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, affirme qu’on peut impunément injurier des hommes et non des communautés alors que cette dernière notion n’a aucune valeur juridique [...].
Troisièmement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, relaxe le socialiste Frêche quand elle condamne l’UMP VANNESTE. Cependant, dans le cas des propos du député VANNESTE, il n’y avait aucune injure à l’encontre ni d’une communauté, ni d’une personne, mais seulement un jugement de valeur partagé par toutes les religions et par de très nombreux penseurs, parfois peu religieux comme VOLTAIRE. Traiter une personne de « sous-hommes » devient donc, aujourd’hui, moins grave que d’exprimer un jugement moral sur les comportements sexuels.
[...] le citoyen a le droit d’être dubitatif devant « ce deux poids, deux mesures » : est-ce que c’est parcequ’il est socialiste qu’il a été relaxé ? Est-ce que c’est parce qu’il est Président de région ? Est-ce c’est parce qu’il s’en prend à des patriotes ?
Ajoutons que si M.M Jean-Marie Le Pen ou Bruno Gollnnisch avait dit le dixième des propos tenus par M. Frêche ils auraient lourdement été condamnés…
En effet Premièrement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, absout un politicien socialiste qui s’égare dans le vocabulaire nazi.
Deuxièmement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, affirme qu’on peut impunément injurier des hommes et non des communautés alors que cette dernière notion n’a aucune valeur juridique [...].
Troisièmement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, relaxe le socialiste Frêche quand elle condamne l’UMP VANNESTE. Cependant, dans le cas des propos du député VANNESTE, il n’y avait aucune injure à l’encontre ni d’une communauté, ni d’une personne, mais seulement un jugement de valeur partagé par toutes les religions et par de très nombreux penseurs, parfois peu religieux comme VOLTAIRE. Traiter une personne de « sous-hommes » devient donc, aujourd’hui, moins grave que d’exprimer un jugement moral sur les comportements sexuels.
[...] le citoyen a le droit d’être dubitatif devant « ce deux poids, deux mesures » : est-ce que c’est parcequ’il est socialiste qu’il a été relaxé ? Est-ce que c’est parce qu’il est Président de région ? Est-ce c’est parce qu’il s’en prend à des patriotes ?
Ajoutons que si M.M Jean-Marie Le Pen ou Bruno Gollnnisch avait dit le dixième des propos tenus par M. Frêche ils auraient lourdement été condamnés…