Fort mécontents de la préparation d’une nouvelle mission internationale "Bienvenue en Palestine" du 24 au 31 août, destinée à aller encourager la rentrée scolaire des enfants palestiniens et à affirmer le droit de circulation en Palestine, les fascistes de la LDJ s’en sont pris à Olivia Zémor le 28 juin dernier.
Courageusement, à leur habitude, c’est en bande qu’ils ont commis leur forfait, contre une femme seule, en l’agressant de dos, qui plus est. Alors qu’Olivia Zémor était assise à la terrasse d’un café à la Bastille, elle a été attaquée et reçu sur la tête, le visage et le corps de la peinture à l’huile qui a nécessité un transport aux urgences de l’Hôtel Dieu par les pompiers, étant donné la toxicité du produit. Une plainte a été déposée et une enquête a été ouverte, d’autant que la LDJ a revendiqué cet "exploit" en publiant une vidéo sur internet.
La police prend l’affaire très au sérieux.
Reste à savoir ce que feront les autres échelons du pouvoir ?
Quant à Jacob Cohen, écrivain qui dénonce dans ses romans les méthodes de recrutement du Mossad en France, il a fait l’objet d’une attaque jeudi 5 juillet dans le quartier de Saint-Paul où la LDJ fait régner la terreur. La deuxième du genre, puisqu’il avait été agressé juste avant la présentation de son premier roman en mars 2012, par un groupe de fascistes de la LDJ. Un témoin des faits avait formellement reconnu trois d’entre eux. Mais aucune instruction n’a pour autant été ouverte à ce sujet...
Pourquoi la LDJ n’est-elle pas interdite en France ?
Jusqu’à présent, il est clair que les nazillons de la LDJ ont bénéficié en France de protections en haut lieu, qui les a incités à multiplier les agressions. Bien qu’ayant grièvement blessé un grand nombre de personnes en France (sans parler des Palestiniens qu’ils ont tués), dont un commissaire de police resté trois semaines en soins intensifs à l’Hôpital Saint-Antoine à Paris, ainsi qu’un étudiant de Nanterre qui a quasiment perdu la vue, d’un œil ; bien qu’ayant saccagé différents locaux associatifs et librairies, et même commis des agressions au sein de conseils municipaux et de… tribunaux ; bien que proférant menaces de mort et insultes racistes à longueur de temps, de manière signée, sur internet et sur le site de la LDJ. Bien qu’étant quasiment tous identifiés par les services de police et ne se gênant pas pour se mettre en scène personnellement en tant que représentants de la LDJ, tels Jason et Steven Tibi, Dylan Halimi, Joseph Ayache, Philippe Wagner, Anthony Attal, ou Gregory Chelli ; bien qu’ayant été arrêtés par la police en flagrant délit d’agressions et ayant pour la plupart des casiers judiciaires peu reluisants pour trafic de drogues ou violences conjugales.
Miracle : pas un seul n’a jamais été en prison en France !
Quand ils se font quand même pincer, ils n’écopent que de peines de sursis... qui s’accumulent ! Un sursis éternel, en quelque sorte !
Et sinon, ils vont faire un petit tour en Israël, profitant de leur double nationalité, et personne ne les inquiète à leur retour en France, y compris quand ils tuent des Palestiniens.
Forts de cette impunité, ils commettent donc de nouvelles agressions Quant aux rares fois où ils ont été contraints de payer des dommages et intérêts à des victimes (comme lors du saccage de la librairie Résistances), ils n’ont pas à se faire de soucis : l’Union des Patrons Juifs de France (UPJF) appelle publiquement les auditeurs de "RADIO J" à envoyer de l’argent pour payer leurs dettes !
Ces dangereux petits voyoux sont protégés par le CRIF qui ne s’est jamais ému de leurs agressions répétées contre des cinémas, des théâtres, de leurs ratonnades, de leurs insultes racistes, de leurs appels au lynchage.
Une situation hallucinante
La France est le seul pays à accepter qu’ils aient pignon sur rue, qu’ils déversent des insanités sur un site public, qu’ils entraînent militairement et qu’ils recrutent ouvertement des jeunes paumés pour aller ’’casser de l’arabe’’ ou du ’’juif traître’’, en France, et du palestinien dans les territoires illégalement occupés par Israel.
Leur association est classée terroriste aux Etats-Unis. Elle est interdite en Israël même. Mais en France ces bandes peuvent agresser et menacer impunément. Certaines de leurs agressions ont même été classées dans la catégorie des "actes antisémites" (sic), venant grossir les statistiques du fameux BNVCA (Bureau national de Vigilance contre l’antisémitisme).
Nous en avons eu la preuve à plusieurs reprises, à l’occasion de tags de la LDJ sur les portes de nos immeubles ou de nos locaux !
Quand la police les arrête, et ne les relâche pas quelques heures plus tard, la justice fait semblant de gober les histoires de "religions" et de "communautés" qui s’affronteraient.
Mais les juges ne font que suivre les réquisitions des procureurs, qui suivent eux-mêmes les consignes gouvernementales. D’autant que la gauche, pas plus que la droite n’a jamais émis la moindre protestation. Tous ces politiciens qui vont manger la soupe aux dîners du CRlF, toute honte bue, en multipliant les déclarations sur leur "attachement à Israël" n’ont pas une seule fois demandé au CRlF de retenir ses chiens.
On fait condamner pour "incitation à la haine et à la violence" des militants pacifiques parce qu’ils appellent au boycott d’Israël, mais on protège de dangereux nervis fascistes, en cheville avec l’extrême-droite française.
Nous appelons l’ensemble des démocrates et des citoyens préoccupés par cette situtation à saisir Manuel Valls pour exiger l’interdiction de la LDJ.