Le 14 février, dans un mois sans jour férié, il fallait bien trouver une fête, un machin pour vendre la camelote capitaliste. Or, normalement, l’amour n’a besoin de rien : il se suffit à lui-même. Ne dit-on pas vivre d’amour et d’eau fraîche ? On suppose que c’est pour boire ou pour se laver après l’amour.
La femme détient les sentiments ; l’homme, l’argent. L’amour consiste à échanger sentiments contre argent : la femme aime l’homme, qui la rétribue. On espère ne pas choquer les jeunes générations, qui croient à l’égalité.
Qu’on se rassure, tout n’est pas aussi commercial, on peut tomber amoureux à tout âge, et à toutes conditions. Regardez Sarah et Luc : n’y a-t-il pas plus bel exemple que leur amour fou ?
Sarah Saldmann 33 ans, Luc Besson 65 ans, la michto a encore frappé ! Après lui, il aime les jeunes et elle les vieux, c'est le match parfait pic.twitter.com/e7TAZdcCfK
— Better Call Savage (@iamogeesavage) February 12, 2025
On le voit ici : la fausse blonde donne tous ses sentiments à Luc, qui va sûrement lui lâcher des talbins. C’est l’histoire du corbeau et du renard. L’homme est corbeau, vaniteux et manipulable, la femme renarde. La femme, en embrassant l’homme, l’envoûte et lui fait perdre la tête en lui faisant croire qu’il est l’Élu, alors qu’elle lui a déjà, à travers sa salive, injecté son poison.
Une fois englouti, le poison va liquéfier l’homme de l’intérieur et il ne pourra plus résister à l’envie de faire des gros cadeaux à la femme, qui fera semblant d’être surprise : oh, un bracelet ! On a vraiment 3 millions d’années de retard sur l’Évolution, nous les mecs. On est vraiment les dindons de l’histoire, une histoire pourtant mille fois renouvelée. On sait qu’elles vont nous arnaquer, mais c’est plus fort que nous : l’instinct nous dicte de nous soumettre à la volonté de la femme.
"Sarah Saldmann, sous la fadeur de l’emballage, se révèle la froideur de la femme"
La "Jewish Princess"
n’est autre que le mythe romancé sauce US d’un ignoble concept de mondanité désuet flirtant avec la suprématie ethnique…Sarah Saldmann pleine de morgue, en se pensant… pic.twitter.com/I06Lqx0FnB
— Ella Kelian (@EllaKelian) December 10, 2023
Là, avec la Saldmann, c’est double peine pour Luc : elle est femme, et elle est juive, et elle dit elle-même qu’un mec doit payer pour la « jewish princess ». Payer au sens propre et au sens figuré. On sent que les femmes ont une vieille dent contre nous, un vieux compte à régler.
Les juifs n’ont rien inventé, avec le concept de réparations : les femmes le pratiquent depuis des millénaires. Tout ça parce qu’un ancêtre Cro-Magnon a tiré une Néandertalienne par les cheveux et l’a traînée dans la caverne pour la, pour lui, enfin pour faire la chose.
Depuis, c’est bien simple, on paye.
Les féministes vont adorer