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Pierre Jovanovic est passé chez Mike Borowski le 11 février 2025 pour évoquer le silence radio des médias français sur l’affaire Epstein, qui touche aussi la France. L’oligarchie mondialiste est mouillée dans ce scandale.
« Ce qui est très surprenant c’est que France 2 soit arrivée avec un contre-reportage, exactement ce qu’a fait Netflix il y a à peu près trois ans, de mémoire, ils ont fait exactement le même résumé : c’est-à-dire Epstein c’est un gros pervers, qui aime les petites filles et puis voilà, c’est un gros vilain. »
Le topo de Géopolitique profonde
L’émission Complément d’Enquête a relancé l’affaire Jeffrey Epstein en révélant de nouvelles informations sur son réseau d’influence et les complicités dont il a bénéficié. Plus de quatre ans après sa mort suspecte, les zones d’ombre persistent. Qui l’a protégé ? Comment a-t-il pu agir impunément si longtemps ? Et pourquoi la liste des personnalités impliquées reste-t-elle en grande partie secrète ?
Un réseau de complicités puissant et structuré
Jeffrey Epstein n’était pas un simple prédateur isolé. Il disposait d’un réseau tentaculaire qui lui permettait d’attirer des jeunes filles sous couvert de promesses de succès et d’argent. Ghislaine Maxwell, son bras droit, a été condamnée pour trafic sexuel, mais elle n’était qu’un rouage parmi d’autres.
Des documents judiciaires publiés en janvier 2024 ont révélé les noms de plusieurs personnalités associées à Epstein, parmi lesquelles le Prince Andrew, Bill Clinton et le Français Jean-Luc Brunel. S’ils ne sont pas officiellement accusés d’actes criminels, leur proximité avec Epstein interroge. Brunel, modèle influent de la jet-set parisienne, a été retrouvé pendu en prison en 2022, dans des circonstances étrangement similaires à celles d’Epstein. La justice américaine, bien qu’ayant dévoilé des noms, semble encore protéger des figures majeures du monde politique et financier.
En décembre 2023, une juge new-yorkaise a ordonné la publication de près de 180 noms liés à Epstein, mais la liste complète peine à émerger. Les grandes instances politiques et médiatiques tardent à s’en emparer, révélant l’ampleur de l’omerta qui entoure ce scandale.
Le rôle de Daniel S. : un rabatteur français dans l’ombre
L’émission de France 2 a mis en lumière le rôle de Daniel S., un individu soupçonné d’avoir été un rabatteur pour Epstein en France. Selon l’enquête, il aurait facilité la mise en relation de plusieurs jeunes femmes avec le milliardaire. Ce n’est pas un cas isolé : la France a longtemps été un terrain d’action pour le réseau Epstein, avec des ramifications jusque dans le monde de la mode et du luxe.
Le cas de Daniel S. rappelle que l’affaire Epstein ne se limite pas aux États-Unis. Paris a été un centre névralgique pour le trafic de jeunes filles, et des noms influents de l’élite française pourraient être impliqués. Pourtant, malgré ces révélations, aucune inculpation majeure n’a été annoncée en France. Le silence persiste, et les enquêtes avancent à pas mesurés, comme si certaines protections restaient en place.
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L’affaire Epstein est un révélateur des collusions entre pouvoir, argent et prédation. Le reportage de Complément d’Enquête a apporté de nouveaux éléments cruciaux, mais de nombreuses questions restent sans réponse. Tant que les noms des complices ne seront pas intégralement dévoilés et poursuivis, l’ombre d’Epstein continuera de planer sur les élites.
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Bonus : Le Figaro préfère Le Souarnec à Epstein
Géopolitique profonde, la revue,
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