Le capitaine est sur le pont !
La semaine passée, un admirateur de Charles Trénet s’était ému de ce que Jean-Marie eût répondu à un coup bas par un coup au-dessous de la ceinture, se sentant visé ! Le barbu que je suis n’ayant jamais été vexé par les piques de notre patron contre la pilosité, et d’autant moins que notre Menhir s’adonne aussi à l’autodérision, il faut croire que certaines différences communautarisent mieux que d’autres ! Espérons qu’ici les adeptes de la cohue charnelle ne se formaliseront point du jeu de mot sur un dur de la tige, lequel s’est si bien sorti de ses mésaventures new-yorkaises... Du calme, les amis ! Jean-Marie ne fait jamais la police de la braguette, il rappelle seulement aux politiciens la dignité de la politique !
N’est-ce pas M. Robert Badinter, alors garde des Sceaux (« des seaux », pour jouer sur le sable, si l’on en croyait Coluche) qui supprima la prévôté qui assurait, paraît-il, quelque discipline au sein de nos prisons ? Le même généralisa la préventive qui devait désengorger nos geôles surpeuplées par 32 000 détenus pour 30 000 places... Quelle réussite ! On a dû dépenser plus pour atteindre 60 000 places, mais avec 65 000 détenus on est encore plus débordé, et de sérieux criminels sont vite libres, et le résultat se voit !
Quel agenda chargé... Toujours vif et joyeux, inaccessible aux mesquines bassesses des incendiaires et autres évêques Cauchon du politiquement correct, notre parachutiste ignifugé analyse l’actualité et rappelle quelles sont les fautes écrasantes de nos gouvernants. Que notre patron à tous garde le patron des patriotes !
Merci, Président, à votre épouse qui a tant fait pour les enfants d’Irak, une cause qui m’est chère, et à vous pour qui j’ai tant crié, le 1er mai 2002 et quelques autres fois : « Jean-Marie président ! »
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