Depuis que j’ai appris que le domicile de Jean-Marie avait brûlé, j’attendais... ardemment ! ... des nouvelles du Menhir, préférant ne me faire de souci qu’à raison, et non par avance.
Je suis navré que ses contusions au visage empêchent le dernier vrai politique français de dormir bien, mais suis enchanté de le voir tout frais et optimiste : on n’en fait plus, des comme lui ! Je lui tire mon chapeau !
Les “complotistes” de ma sorte verront un sens à cet incendie qui suit une nouvelle courageuse manifestation d’indépendance de notre patriote en chef : refuser de bêler avec le troupeau des charlots. Si j’ai raison, les « charlies-charlots » nous ont prouvé, s’il en était besoin, ce que vaut leur tolérance et ce qu’est, pour eux, la « liberté d’expression ».
Si ma maison devait brûler, je regretterais les quelques photos et lettres de mon premier amour, et aussi quelques livres difficiles à trouver, mais je sais qu’il me resterait l’essentiel : le souvenir des plus beaux instants de ma vie. Que le béret de parachutiste et les décorations de Jean-Marie aient survécu au désastre est un signe du destin.
Je suis heureux de savoir que la bonne humeur de Jany n’a pas été atteinte, ayant pu apprécier sa bonté simple et touchante ; voir qu’elle n’est pas exagérément affectée doit être un grand réconfort.
« Un seul cap : la France » : c’est ce qu’affirmait une de mes cartes du F.N., c’est à coup sûr ce qui est au fond du cœur de notre du Guesclin. Ses attendus Mémoires viennent de s’enrichir encore un peu !
Merci pour tout, président, y compris pour ce que vous savez encore, contrairement à tous ceux qui bla-blattent à la téloche, que naguère veut dire « il n’y a guère », et que vous ne l’employez donc pas à la place de jadis.
Et en face, ils n’ont, les malheureux, que des Sarközy-Hollande ou des Juppé-Valls...ou des Mélenchon-Besancenot et bien sûr des charlies : c’est guère mieux... Les pauvres... Au fond, ce sont eux les victimes d’un incendie : le pire de tous, la perte de leurs racines, l’amnésie incurable...
Vive la France ! Vive Jean-Marie, aujourd’hui la France, c’est lui !
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