Manuel Valls et les services de police auront tout tenté pour empêcher le Jour de colère. Mensonges dans les médias, tentatives de diabolisation politique, divulgation d’informations personnelles sur les militants… Pour finir, la Préfecture de Police a refusé le tracé de la manifestation déposé par les organisateurs.
L’oligarchie au pouvoir doit être bien inquiète pour tenter de détourner le cortège du JDC sur plus de 6,5 km, en lui faisant traverser la Seine à Austerlitz pour le faire arriver derrière les Invalides.
Mais le marathon protestataire qui est imposé, sous peine d’interdiction totale, ne calmera pas la colère des Français. C’est tout le contraire ! La préfecture vient déjà d’annoncer entre 80 000 et 100 000 manifestants.
Hollande et sa clique sont en train de réussir ce que les politiciens de droite ou de gauche pensaient impossible : engager 87 % du peuple de France dans la bataille politique. Et les réunir tous : contre lui !
Ce 26 janvier 2014 marque la première étape de ce nouveau combat politique : le Jour de colère. Il ne prendra fin qu’avec le départ de Hollande, par sa démission ou son renvoi.
Les Français unis qui défilent aujourd’hui, de tous horizons et de toutes conditions, ont en commun trois qualités qui leur obtiendront la victoire. Ils sont patriotes ; le drapeau français et ceux de nos provinces sont les seuls à flotter sur tout le défilé. Ils sont non-violents, résolus à laisser le pouvoir tirer le premier, comme à Kiev. Ils sont déterminés, et leur colère ne baissera pas malgré l’arbitraire, les provocations, les dénis de démocratie et les atteintes à la liberté d’expression.
Le Jour de colère appelle à l’émergence d’un nouveau contrat social fondé sur le refus des partis de l’oligarchie, de droite comme de gauche. Ces clivages ne signifient plus rien : le JDC en est la preuve et l’illustration. Quand le Président n’a plus la confiance de l’opinion, il doit céder la place, faute de quoi il devra affronter le peuple souverain. Et sa défaite est déjà assurée. Il vaudrait mieux pour lui qu’il se retire tout de suite. Sinon, le Jour de colère ira le poursuivre dans la rue avant de le chasser dans les urnes. Les patriotes du JDC et tous les citoyens qui les soutiennent vont écrire une nouvelle page de l’histoire de la France : celle du réveil politique de la société civile.
Courte interview d’Alain Soral au départ de la manifestation :
Quelques images de la manifestation :