Ça devait arriver... Franchement, quand on lit ou on écoute Renaud Dély, agent sioniste du Système, et plus précisément socialo-sioniste, pour qui tout Français est un « populiste » en puissance, quand on écoute ou lit ses propos violents contre les Français en général et les résistants en particulier, c’est-à-dire les vrais patriotes, il était inévitable qu’un jour quelqu’un péterait les plombs contre lui et ses aberrations, ses agressions et autres injures. Tout n’est pas permis, monsieur Dély.
On a longtemps suivi puis noté ses délires dans Marianne et sur les chaînes publiques, et puis on a lâché l’affaire, tant ses excès et attaques sentaient la haine. Et on ne peut pas discuter avec des haineux, on doit les ignorer, mais on doit aussi faire attention à ce qu’ils ne s’enhardissent pas, et ne prennent pas cet évitement chrétien pour de la faiblesse. C’est l’erreur classique que ceux qui se croient tout en haut et tout permis commettent souvent, et qui précipite leur chute. Mais revenons sur l’affaire du jour.
Après avoir été traité de « complotiste des champs » dans un édito de Renaud #Dely de @franceinfo #Lassalle s’emporte et le traite de « chien » pic.twitter.com/UoVzcTuDe4 pic.twitter.com/q9pEkw5Qzh
— Jean-Marc Alric (@jmAlric11) April 7, 2022
Jean Lassalle use de son droit de réponse comme bon lui semble. Il a juste oublié de dire "un chien de garde" !
N'oubliez pas aussi que Renaud Dély a traité des gilets jaunes de "vermine".#jeanlassalle2022 #presidentielles2022 pic.twitter.com/O9ATMWki2D— Marianne2022 (@Marianne20224) April 7, 2022
Les Gilets jaunes, de la « vermine ». On dirait un vocabulaire des années 30 ! Et ça se dit journaliste... Décidément, c’est bien à cause des agents déguisés en journalistes comme Renaud Dély que la cote des journalistes s’est effondrée dans l’opinion : seulement 25 % des sondés les pensent indépendants. Ce sont donc des toutous, ou des chiens pour parler plus crûment, pour 75 % des Français. Plus précisément des Chiens de garde, comme l’écrivait Serge Halimi de manière visionnaire en 1997.
Avant, le journaliste était le preux chevalier qui bravait le pouvoir pour défendre la veuve, l’orphelin et l’innocent. Aujourd’hui, ceux qui restent en place sont les valets du pouvoir profond, qui leur autorise mensonges, cruautés et agressions. Il est évident que la coupe est pleine. La sortie courageuse de Jean Lassalle est un signe des temps. Ceux qui distillent le chaos dans la population peuvent un jour être aussi victimes de ce chaos, et là on ne parle pas de l’agent de terrain Dély, mais bien de ses maîtres, ceux de l’hyperclasse mondialiste. Qui sont vraiment 1 % contre 99 %.
Bravo Monsieur Lassalle ! La chronique de ce renaud Dély est SCANDALEUSE. C’est un torrent de haine, d’injures, de mépris à votre encontre et contre Dupont- Aignan et les français qui les soutiennent. Cette radio est la HONTE de la France. (Réaction de Jérôme, sur Twitter)
Et pendant que l’ignoble Renaud Dély insulte le noble Jean Lassalle, les Gilets jaunes et les Français, puisqu’on parle campagne, intéressons-nous à nos campagnes et au sort des paysans, qui prennent de plein fouet l’augmentation du prix des carburants décidée par l’entité néolibérale qui a mis la main sur l’État français, qui n’est plus ni providence ni protecteur. Où est la vermine, monsieur Dély ?
L’édito de Renaud Dély qui pose problème
Voici le passage de la chronique qui a fait bondir Jean, sous le titre bien raciste « Présidentielle : Nicolas Dupont-Aignan et Jean Lassalle, le complotiste des villes et le complotiste des champs ». Avec en prime la photo des deux « rats » qui complotent :
Candidat pour la deuxième fois, 1,2 % en 2017, le député des Pyrénées-Atlantiques arbore un visage sympathique, une certaine faconde, il défend ceux qu’il appelle les « oubliés », les habitants des territoires ruraux. Mais il verse volontiers dans le populisme le plus radical. Il défend une « France authentique » contre une autre qui serait factice. Il veut mettre un « coup de boule à la presse » et « un coup de pied au cul des politiques » !
Comme Nicolas Dupont-Aignan, Jean Lassalle répète que nous vivons dans une « dictature » et que l’élection est « complètement truquée ». Dupont-Aignan et Lassalle, les deux faces de ce complotisme de l’époque, bruyant dans la rue et sur les réseaux sociaux mais, pour l’heure, encore faible au fond des urnes.