Tout comme ce Monsieur, je suis "citoyen" du 3éme âge.
Bilan : J’ai vu mes 1ers Noirs et maghrébins à 18 ans en "montant" à Paris années 70 pour mes études.
Habitant un quartier privilégié de Paris, j’ai soutenu l’anti-racisme de gauche jusqu’à ce que, famille agrandie oblige, je déménage de l’autre coté du périf dans un pavillon d’une banlieue mixte où le changement d’ambiance fut immédiat. Incivilités d’abord, puis, pour les mêmes raison que le retraité de l’article et par le même genre d’individus, menaces de mort quand au stationnement quasi hebdomadaire sur mon bateau, dés lors que j’ai craqué en demandant l’intervention de la fourrière. J’ai déménagé pour une banlieue moins "mixte" mais ce fut le tour des enfants. Coups fréquents et insultes quotidiennes, malgré leur résistance, sans parler de leurs petits camarades rackettés et battus dans un climat de trafics de drogue et de portables. Ayant acheté une petite maison en mauvais état à des lointains bénéficiaires d’une succession, qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’elle était squattée par des retraités maghrébins qui ne l’occupaient que pour rentrer du bled pour soins et papiers administratifs concernant leur retraite et qui ont immédiatement rappliqué pour, bénéficiant de l’aide juridictionnelle, m’attaquer pour "effraction".
Lors du jugement au tribunal local, munis d’un bail "verbal" mais d’attestations de potes de la même origine, le petit juge de gauche a décidé de leur laisser 2 ans de recherche d’un nouveau logement en arguant que "j’avais les moyens" sans autre forme de procès. J’ai vendu à perte passé ce délai, ayant fourni un "dédommagement substantiel" aux 2 blédards et ayant entre temps re-déménagé à Paris dans un quartier "privilégié" où les loyers prohibitifs n’ont arrangé ni mes affaires, ni celles des enfants, car, immigration de masse oblige, en dehors des quartiers historiques et du 16éme, les problèmes dus à "la mixité sociale" ont rattrapé tout le monde.
Départ définitif dans un coin de province où le coût du foncier écrème pour le moment la population. Pour autant, ayant vadrouillé au Maghreb, j’y ai constaté la misère, le système D, le caïdat, le poids sociétal et religieux qui explique en partie que pour beaucoup de migrants venant en France, tous les moyens sont bons pour sortir de la pauvreté originelle, d’autant qu’un sérieux coup de pouce leur est donné par le système et les ligues "anti-racisme" au détriment du Français de souche.
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