Alors que Méric est en passe de devenir un « martyr » officiel de la République, alors que les épanchements de toutes les bonnes consciences se répandent dans la presse, c’est dans un silence de cathédrale, que le même jour, un jeune français trouvait la mort sous les coups de poings d’un agresseur de « type » maghrébin.
François Noguier, 22 ans, élève ingénieur en dernière année d’études aux Arts et Métiers à Paris, était retourné le temps d’une soirée à Châlons-en-Champagne pour fêter les examens avec ses camarades de l’Ensam, sa première école.
En fin de soirée, un homme de type « nord-africain » s’approche de François et de ses amis. Une altercation éclate sur une histoire de cigarette. Un coup part, François s’effondre. Son décès sera déclaré dans la nuit. L’agresseur lui est en fuite.
Le journal L’Union-l’Ardennais relate que « l’autopsie pratiquée à l’institut médico-légal de Reims fait d’ailleurs état d’une extrême violence ».
Où sont Valls et Belkacem ? Où est Hollande ? Où sont les cadres du PS, du Front de Gauche ? Où est Mélanchon-la-vertu ? Que font les antiracistes contre ce crime raciste ? Combien de Blancs vont encore mourir sous les coups des racailles allogènes ?
La vérité c’est qu’il existe aujourd’hui deux catégories de Français et même plus clairement deux France.
Celle du Système qui capte les lumières, les strass. Celle du pouvoir, de la violence, celle de Big Brother. Celle des chiens de gardes, qu’ils portent l’insigne de police ou l’étoile rouge. Celle de l’indignation sans dignité, de l’hémiplégie continuelle, de la trahison permanente.
Et puis il y a celle des Français silencieux (de moins en moins). Ils se lèvent tôt, travaillent dur, se plaignent peu, demandent encore moins à cet État vampire. Cette France de souche, enracinée et bonapartiste commence à gronder. Depuis quelques mois elle manifeste, grogne et exprime sa souffrance.
Messieurs du Système, craignez la colère du peuple, ce peuple dont vous foulez aux pieds les nobles et saines aspirations.
Nous vous laissons Méric, le vrai-faux ingénu du Système. Ce soir, nous vous disons : « Nous sommes tous François Noguier. »
A. de R.