La fin de la Jamahiriya arabe libyenne était aussi la fin de la Libye. Grâce à la guerre et ses hérauts obscènes, la Libye est donc morte. Par la volonté biblico-foutraque du guignol assassin Lévy et de son affidé Sarkozy, ce sont aujourd’hui des milices qui tiennent le pays et font la loi sur le terrain.
Les nombreuses rivalités qu’elles entretiennent entre elles rendent le climat local franchement explosif. Les pantins qui composent le gouvernement libyen sont incapables d’exiger le désarmement de ces groupes armés bien utiles, puisque l’État fantôme libyen s’appuie sur eux pour garantir la « sécurité » dans les différentes régions du pays.
Car sur le papier, ces bandes d’excités de la gâchette sont placées sous l’autorité du ministère de la Défense ou de l’Intérieur. Milice Ghargour, brigade Nossoor, groupe Bouclier de la Libye, katiba Ansar al-Charia… Ils ont en réalité toujours conservé leur structure hiérarchique d’origine. Les hommes obéissent au commandant de leur brigade et rejettent l’autorité de l’État.
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