Comme l’expliquait Alain Soral le jour de l’avant-première du film "L’Antisémite", le 15 janvier dernier.
"Je pense que tant qu’il faisait de l’antiracisme institutionnel au service des associations antiracistes montées par Mitterrand et sa bande, pour montrer systématiquement du doigt le français de base, y’avait tous les protecteurs des immigrés qui lui tapaient sur l’épaule en lui disant « T’es un bon "nègre de maison" » !
Dès lors qu’il a commencé ! Comment il a explosé Dieudonné ?
Sur la cause palestinienne hein !
Là-dessus, d’un seul coup, il s’est fait massacrer parce qu’il a poussé son antiracisme jusqu’au bout.
Et on a vu là-dessus que normalement, au nom des valeurs, de l’universalisme français, du respect du comique, de la liberté d’expression, etc., tout le monde aurait dû le protéger !"
On connaît la suite hélàs. Entre acharnement, harcèlement et coups.
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