Typique et révélateur du complexe de castration féminin sur-représenté chez les lesbiennes : la détestation de ce qu’elle n’ont pas parce qu’elle ne l’ont pas.
Mais deux doigts, aussi agréables et pourvoyeurs d’orgasmes soient-ils, ne remplaceront jamais la sensation de comblement procurée par un objet de la taille d’un phallus. Ces pauvres "castrées", ayant autant besoin d’une bite que n’en supportant pas l’évocation, n’ont donc pas fait autre chose qu’un bite...qui n’est pas censée en être une (un peu comme dans les jeux infantiles : "on dirait que...")
Je précise que je ne considère absolument pas qu’il "manque" quoique ce soit aux femmes, mais que nombre d’entre elles n’ont jamais pu dépassé cette représentation d’elles mêmes comme étant "castrée" du membre masculin, un attribut dont la possession se trouve - malheureusement pour elle - en forte corrélation avec une force physique supérieur origine de la domination masculine.
Ce complexe de castration féminin est parfaitement illustré par la plupart des combats féministes, dont le vrai objectif est d’obtenir la domination des femmes sur les hommes (ce d’ailleurs en quoi les femmes démontrent bien qu’elles sont bien des "hommes" comme les autres).
Ce complexe est aussi clairement illustré sur les site des femens, qui ont le mérite de montrer tout haut ce que la grande majorité des féministes pensent tout bas, par l’image d’une femme aux seins nus tenant une faucille maculée de sang d’une main et une paire de testicules ensanglantés de l’autre...symbolique mais extrêmement révélateur.
Au delà de l’impact médiatique que leur procure le fait de défiler seins nus, je note que les femens revendiquent dans leurs propos le fait de manifester nues, alors qu’en étant seins nus, elles sont loin d’être nues (dommage ! je crois que les vrais hommes aiment les chattes bien plus que ce genre de femmes n’aiment leur propre sexe ! ).
Or les seins ne sont qu’un caractère sexuel "secondaire"... Affirmer et assumer leur féminité par la nudité devrait se faire en exposant leur sexe bien plus que leurs seins mais elles révéleraient alors l’absence de ce qu’elles dénient être leur référent ultime soit la possession du pénis.
Elles compensent donc comme elles peuvent, en affichant ce qu’elles perçoivent avoir "en plus" par rapport aux hommes (alors qu’en fait, les organes sexuels féminins, même hors utérus, sont bien plus volumineux que ceux des hommes, ils sont seulement plus internes et donc moins visibles).
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