Qui veut travailler pour rein et pour les pires salopards que la terre a vue naître ? Les trois quarts des travailleurs sont des moutons pour garder leur taff les autres qui refusent sont jetés à la poubelle dans un sinistre silence ou seul la voyoucratie ouvre ses portes pour finir corrompu donc un mouton.
Finalement il reste les gueux mais bon abîmé par la rue et les drogues ou la débrouilles est de plus en plus compliqué.

La politique de l’achèvement social est une arme meurtrière qui pousse l’homme au pire du pire.

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Cette propagande de la laideur, j’ai déjà regardé les offres pour participer aux vendanges, cueillettes etc et j’ai déjà contacté un bon nombre d’entre eux...

Jamais de la vie c’est payé 2000 euros net et la plupart ne logent pas !!!! Certains autorisent l’utilisation d’une tente (ce qui est super saint après une journée à se casser le dos) et beaucoup sont dans des endroits qui nécessitent une voiture.

Si ils n’ont pas la main d’œuvre française c’est parce que le salaire reflètent les conditions de travail et que c’est difficile d’accès. Tout le monde n’est pas un clando prêt à travailler dans de mauvaises conditions pour quelques piécettes !

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Tout d’abord le boulot n’est pas une denrée rare. Ce sont ceux qui veulent bosser qui se font rares.

Et particulièrement les Français, nourris au "quoiqu’il en coûte" d’allocations sociales les plus variées pour les inciter à rester des consommateurs plutôt que des producteurs.

Ce cirque des migrants venus faire le travail que les Français ne voudraient plus faire n’est qu’une mise en scène progressiste du mondialisme comme vision économique et sociale du macronisme ambiant.

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Mais le premier probleme c’est la demographie. La pyramide des ages.
Aujourd’hui il y a plus de vieux pour manger des fraises que de jeunes pour les ramasser.
Et tant que la population vieillira le probleme s’accentuera.

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Avant, l’agriculture c’était une question de famille.
Puis, au début des années 80, progressisme et générosité du cœur obligent, modernisme aussi, la famille à commencé à se déconstruire.
Puis, les paysans se sont bouffés (avalés) entre eux. Le malheur des uns ayant toujours fait le bonheur des autres. Et question main d’œuvre, malgré la mécanisation et les aides de l’UE (assistanat, Rmistes de luxe )... Il en manque, et beaucoup parfois, chez nos agriculteurs.
Faut dire que nos agriculteurs se laissent bien souvent tranquillement téléguider à distance par les syndicats, LE syndicat, la FDSEA omnipotente dans le syndicalisme agricole ; les chambres d’agricultures ; les représentants de machines ou de marchandises ; les comptables, dont la profession fonctionne probablement comme la médecine aujourd’hui, avec les problèmes que nous avons pu percevoir lors de la dernière crise dite du covid.

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L’être humain n’est pas fait pour executer la meme tâche rebarbative pendant huit heure tous les jours. C’est abrutissant, infernal et juste de l’esclavage en fait.. surtout quand ça paie pr ainsi dire, juste de quoi survivre et que les benefices sont capté par le capital.
Ceux qui n’ont pas connu ça, ce n’est pas la peine de contre argumenter. Des tâches à la con genre recolte en chaine ou desherbage, pas plus de 2 heures en vrai.. après oui y’a des exigences par exemple c’est les vendanges, donc necessaire de charbonner plus parce que c’est l’heure, que le fruit est prêt mais c’est pas toute l’année comme certaines usines agroalimentaires ou monoculture industrielle capitaliste à fond. Mieux vaut des petites structures en polyculture pour varier les tâches et produire des bons produits de manière humaine.

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On va être clair : être journalier, c’est subsister ; être journalier, ce n’est pas être paysan ; le journalier, c’est encore en-dessous du serf de l’Ancien Régime (qui, lui, avait au moins le luxe d’avoir un foyer, là où le journalier reste un traîne-savate).

Des heures à rallonges + une paye misérable + une santé vite flinguée + logement à chier parfois sous tentes + perspective d’avenir inexistante + collègues attardés ou barjo à la pelle + dévalorisation sociale et personnelle = pas beaucoup de perspectives alléchantes pour un jeune, pour quelqu’un qui espère encore faire quelque chose de sa vie, autre chose que subsister. Quand t’es journalier, t’es pas en train de méditer un projet immobilier ou construire une relation sérieuse (sauf avec la trainée du fond des tentes, mais c’est quasiment la même tous les ans).
J’en ai fréquenté pas mal, j’ai bossé une fois avec eux, c’est pas la joie, on va être clair sur ça.

Vous en avez souvent vu des journaliers très épanouis ? Non, ça n’existe pas. T’as soit de la ménagère qui prend ce boulot pour aider les fins de mois, soit le taré divorcé qui erre dans tout le pays, soit des jeunes toxibars, soit des galériens tu sais pas d’où ils sortent, soit des étrangers qui parlent pas la langue et restent entre eux, soit des types comme moi qui arrête au bout d’un mois pour retourner à l’usine (bah ouais, je préfère me péter le dos avec les collègues en CDI plutôt qu’avec un roulement de randoms, souvent à moitié givrés pour la plupart).

Alors faut arrêter avec ce délire de fainéantise, c’est juste de la logique humaine. Combien des gens qui parlent de fainéantise tiendraient plus de quelques années à ce rythme ? Aucun, la moitié se pendrait dans leur salon avant la fin, pas par fatigue mais par désespoir d’une vie qui ne mènera nulle part.

Pour faire journalier, faut déjà avoir tout perdu ou renoncé à tout. Ensuite tu ramasses des pommes toute ta vie comme un bon serviteur, et ça, c’est le modèle prôné par certains ? Par de Chrétiens peut-être ? Non, on peut se désoler de ne pas trouver de journaliers, mais on peut pas jouer les idiots à ne pas comprendre pourquoi personne veut y aller.

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Pour partager mon expérience dans la cueillette de fleures dans le sud de la France. Le métier est vraiment très difficile. Le propriétaire exigeait un certain volume comme minimum et ce qui dépassait le minimum était payé selon un tarif préétabli. La population que l’on y retrouve ce sont principalement des immigrés, bulgares, nord africains et surtout des femmes, souvent des femmes d’un certain âge. Il faut bien garder à l’esprit que ce sont des contrats précaires même si ça va de soit lorsqu’on dit saisonnier. Dans mon cas la plupart des gens rentraient chez eux le soir et vivaient assez proche (mais on est dans le sud de la France, forte population immigrées).

Ce que je peux tirer de mes observations, c’est que ces métiers peuvent être intéressant pour une population très limitée qui réside déjà en France qui a souvent les caractéristiques suivantes : ne parle pas ou peu le français, a un moyen de transport - parce que souvent ce sont les maris qui étaient à la retraite ou au chômage qui venaient récupérer madame ou un autre membre de la famille, ils sont intéressant pour certaines personnes qui peuvent alterner avec une période de chômage mais il faut garder à l’esprit que parfois les contrats ne sont pas assez long pour ouvrir droit au chômage et c’est là que ça bloque souvent (on vit de quoi après).

Sur ce dernier point, les gens qui se débrouillent assez en français mais toujours avec les profils ci-dessous je les ai retrouvé à faire le ménage pour des sociétés comme O2 (service à la personne). Parfois la personne devait conduire de très longues distances chaque jour et c’était à peine rentable. Donc vous comprenez bien que le seul avantage c’est de s’ouvrir des droits au chômages.

Ce sont des métiers ingras, l’été surtout, mais si des vieilles mamans arabes en mauvaise conditions physiques peuvent le faire, la question de la feignantise est pertinente. Mais pour modérer ce dernier points, il faut vraiment ne pas avoir le choix et effectivement entre un poste non qualifié n’importe où versus dans la cueillette, le choix est fait.

Je ne suis vraiment pas surpris de lire ce type d’articles ayant vécu un certain nombre d’années dans cet univers. Dans le sud de la France il y avait assez de misérables pour s’en satisfaire et qui y trouvaient leur compte. Sinon c’est dans la main d’oeuvre étrangère, même si elle est peut être un peu plus chère, il y a une certaine stabilité et prévisibilité. Tout mettre sur le dos de la feignantise c’est non.

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Chomeur, je fabrique mes propres outils pour cultiver des fraises en aéroponique et les récolter avec la robotique.

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Je crois qu’il faut arrêter un peu vos fantasmes, il y a un peu plus de 25 ans, faute de trouver du boulot adapté à mon diplome (ingénieur en hydraulique), j’ai bossé comme distributeur de prospecture pendant plus de 6 mois et suis devenu rapidement chef d’équipe. il m’est arrivé de croiser des jeunes qui demandaient des cigarettes ou qq pièce (des français de souche, de brache ou des étranger) et de leur proposer de travailler comme distributeur de prospecture le temps de la période estivale, j’amais je n’ai eu de réponse favorable.... à l’exceptiond’une seule fois et jamais je ne l’oublierai, c’était un jeune homme de la grande bourgeoisie (Charles Edouard, pour vous dire...) qui a bossé avec nous pendant quelques semaines, le temps de se faire unpeu d’argent de pôches....
Par contre, j’ai eu dans l’équipe pas mal de jeune maghrébin, majorité algéirenne comme moi, dont la plus part avait bac +5... C’est un peu grâce à l’informatique, moi et bcp d’étranger (en particulier les magrébins et les africains) que j’ai trouvé un travail à la hauteur de mes aspirations, si non je serai toujours entrain d’essayer d’arnaquer les client (à la fin je suis devenu responsable commerciale de la boite de pub : prospecture, affichage etc...) sous la pression du patron un français de souche qui a eu la gentiellesse et la largesse d’esprit de nous recruter (nous les maghrébin et africains), En plus c’était un militant du FN, il était juste car j’avais plus de primes que les autres commerciaux français car je bossais plus etmieux qu"’eux

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